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cmenr; '1. le kermès, l'oxide sulfuré vitreux, le sousl'antiMonite de potasse, le protoxide on fleurs argentines d'antimoine en contiennent de 6,90 à -L300. Pourjconnutie la présence de l'arsenic dans

ces 'substances, on les fait chauffer avec leur Poids de "Crême çlé tartre dans un creuset fermé, àün feu bien "soutenu, pendant trois heures :ii en résulte des alliages de potassium, qui, mis en Coritactavec l'eau, donnent du gaz hydrogène arSe9le ; on reçoit ce gaz dans des larges" de 8 à 9 centimètres, et on y éprouvettes met le feu: l'arsenic se dépose à l'état d'hydrure sur les pat'Ois éln vase, et l'on juge approximativement de sa proportion d'après l'épaisseur du dépôt. Par ce moyen, on peut aisément reconnaître la préSence

---j-67,-2 d'arsenic dans

une matière antimoIiile'finelconque. Quand cette matière contient deja de la potasse, on y ajoute moins de son prepre poids de crème de tartre. Si c'est un sulfure on le soumet d'abord à un grillage pour en expulser -9ne partie du soufre. Comme"retnénquée ainsi que le beurre 1, timoine inéine lorsqu'ils ont été préparés d'anr, avec un niinerat 4rsenical, ne renferment jamais d'arsenite,,,Mi,pent les employer pour se procurer de l'antimoinè. parfaitement pur. .

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57. Nouveau moyen de produire du froid

artificiel. M. Maecnloch a, obtenu un abaissement de t,empérattire,d0.50°. de Fahrenheit, en met tan nn peu derglace ou de grêle dans de l'alcool.

EXTRAITS DE JOURNAUX.

58. Sur qiielees. eônzbinizison. de

Cir'

.M. S. i aval. (Annales de Chimie, tome A-rH,

page 537.). M. Oberkampf a trouvè,pananalyse de poxide précipité par la baryte ,,:.que ioo partiés d'Or se combinent avec /0,0 d'oxigène; le même chi-: miste a analysé le sulfure d'or : si l'on déduit composition de l'oxide d'or de celui dé ce fure, on trouve que loo parties d'or se combinent avec .12027 d'oxigène (t). M. Berzelius a conclu la composition dé l'oxide

d'or de la quantité de' mercure nécessaire pour

décomposer un poids déterminé de chlorure d'or dissous dans l'eau, et il a trouvé qii.e'ioo parties d'or prennent 12,077 d'exigène (2). M. Pelletier admet, d'après l'analyse qu'il a faite du protoiodure d'or, que, dans le peroxide, / 00 parties d'or sont combinées avec /0,0485 d'oxigène.

J'ai répété l'analyse de foxide d'or par le'

procédé de M. Oberkampf convenablement mo-

difié. J'ai décomposé le chlorure pur et neutre par un grand excès de baryte; j'ai séparé la baryte du précipité par l'acide nitrique ',:et l'oxide d'or a été lavé à plusieurs reprises : il ne s'est déposé qu'avec une extrême lenteur, et il formait avec l'eau une masse gélatineuse d'un grand vo-

lume, ce qui m'a fait penser qu'il était à l'état d'hydrate. Je l'ai desséché à la chaleur de l'eau bouillante, en le tenant éloigné des charbons ariii:znales de Chimie, t. LXXX, p. 14o. Annales de Chimie, tonié LXXXVIL, p,