Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1822, série 1, volume 7)

SUR LES TERRAINS

CALCARÉO-TRAPPENS.

sous et-de. la chlorite, ou terre verte, tontes

veloppemenà qu'il donne à ces objetQde,,comparaison , ni ling' téS .citations fait des naturalistes qui ont Pli-t4 Oh moins approché de ce résultat; mais nous ne pouvons omettre de Citer WVec lui M. Buelt,land , comme ayant pris,

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choses -qui paraissenti-nussi lui appartenir en

propre.; que, d'une autre part, l'absence des grès et celle du _mica OU u» moins» la rareté.de cette substance, si abondante au contraire dans les terrains 'supérieurs, offrent une réunion de

caractères qui doit faire rapporter les 'terrains

calcaréo-trappéens du Vicentin au calcaire gros.-

sier inférieur au gypse du bassinde P'iriS_; et qui place par conséquebt leur formation h,Une 'époque antérieure à celle bù se:sont déposésCes terrains,,,galementntiMinés tertiaireS1, stituent;dés:collines .subàpernaines, Brocchi. L'accès des basaltes,et'd'es..roches traPpéennes

serrible, an ;premier '.spect, -être une circonstance particulière aux terrains de sédiment supérieur-)dp.'- Vicentin , oeteun ne connaît point cette reiche dans les teWains 'des environs de

Paris ;jmais, outre qu'on .peut la considérer

comme leproduit d'un phénomène local et particulierkieriord de l'Italie;,111. Brongniart croit qu'on potiirouver une ressemblance, très-éloignée à fa '.érité, entre les grains de terre verte dissérniuéedans les assises inférieures du cal-. caire grossier et les roches trappéennes altérées, mêmetentièrement déSaggré,gées , qui c'enstituent ert.général la matière dominante .dé S brec-

cioles; matière mêlée aussi avec le calcaire; en sorte qu-eidette roche semble ne différer du calcaire chlorite des assises inférieures du» calcaire grossierdà environs de Paris, que parcequ:ici

le caloairel'emportestr la terre vertetandis que dansle-Vicentin c'est .en général, la roche trappéenne qui est la partie dominante. NousJte pouvons suivre .l'auteur dans les dé-

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dans le voyage qu'il a fait en Italie presqu'eu

même temps que M. Bronginart, une semblable opinion sur l'époque de formation de ces terrains. Dans un second Mémoire, que 1114Srong,niart n'a point encore lu à l'Académie, il rapporte, aux mêmes terrains, c'est-à-dire à la formatioreinarine inféri,eure ou du calcaire grossier (ig: environs de Paris, quelques autres lieux a eu occasion d'observer ou de connaître tels sont entre autres : 1°. La 'haute colline' de'la Supergue , à l'est de Turin, composée- principalement - de marne calcaire et de brecciole calearéo-serpentineuse, enveloppant des coquilles analogues la plupart à des espèces de Bordeaux, de Chaumont ,Tet quelques antres lietix qui appartiennent , sans aucun doute, à la formation inférieure des terrains de sédiment supérieur. 2°. Le- sommet de là. chaîne des Diablerets , au-dessus de Bex , dans le Valais. C'est un terrain bien différent de celui de Paris, par sa po7 sition-, par son "élévation dé 2400 rptre, au moins au-dessus. du niveau dé la iuer1, par la couleur noire et la dureté de ses roches,calcaireS .

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biumiueuses mais 4iii,i.-paratt. pouvoir éti3eriapt. porteï.,Cette formation- par' nàt ure.deW'c.brpà

organisés fossiles qu'il renferkte; è ison dés .éérites ,des ampullaiiws , dé ,5'caïdiuni, voisin

du ciliare de Brocchi, si ce n'est le même; le

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