Annales des Mines (1822, série 1, volume 7)
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iddittitOGIte
NOTICE
En aoirt 1$Pri , M. Grandin fut envoyé à Sarrebrimk, clrargé de la;direction de la ruine de houiile :gni:dépendait de l'Ecole' firaeisie de'S- Mines de la Sarre. Ifs y trouva collégue de M. l'ingénieur Brédif, sous - directeur de cette peu d'années après, une École, avec lequel il devait de destinée. INommé, ingénieur, en féavoir' onfornlité triste vrier 1815, M. Grandir) fut, au bout de quelques mois , placé ers résidence dans le département du Calvados, d'abord à 2 Bayeux, puis à Caen , et chat du service des mines dans les clépartemens da Calvados , de la Manche et de l'Orne. Rapproché ainsi, de sa famille et de son pays et se livrant aisir coMmé avec succès, 'des ieeherok,ses fonctions il se issi.p mome,m,r4e;libp,r,t, que h trouvait heurenx, ne sa, positron, U ,accepta cependant sans;
hteria:pitipn Ui lui l'Ut ;faite. en
8, d', aller au Sénégal ,,;ponr rerriplaceri.oyfirre membre de l commissiou; eeXploratiônYde c'ettocOlon're,,, M. Brédif, que la mort .àyait, fut; woissonne';quelqs. mois "aprèssOm.,,arriv4e' n4i;
a cette occasion , nommé ingénieur de première classe le 1?_,c,. juin. Il,partit de Lorient le 8 juillet 18,14 ; et arriva Saint Louis, après une traversée de 'vingt deux
foiiirs,.,' ,Une expédition. pour 1 .haut ,§,é,négel était prête; 4. partit :ritlist 'déc'dé. gife .M: Gra,ndin-n,ers ferait pas paritie , et ju'ilres!-9qits.l.'int4"-494i§,110111" $ a&elinfater.p.isqu'à l'année sl4iYa;nt-
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(1?em1ante se; oieau idlee,>13,4 la co]oe,4. Grandin fut successivement :chargé pr 1,'41dfninistratioMde 4jyt ra7.
VaUX re4tifs,A la;lehrica fion 44, la: ptlâP4 et des briques, ainsi Saint-Louisi,pla# qui pian génera'1e que du.. le,vern
n'avait pas encore 40 faif.A.,soecupa en,rnerne, tesnps d'observations genlogiqués sur la 'C6te d'Afrique, et guf les bords
du Sénégal, qu'il remonta jusqU'à.,13949%. c'est-tàrd'ire Pendant
Tronçais remontassent au-delà de Saidé ; la saison était trop avancée et les eaux du fleuve déjà trop basses pot' 'qu'on pin forcer le passage et continuer sa route eniétat de nerre; on revint donc à Saint-Louis. Au cornmencemerit'de 1820, 1. Grandin fut chargé de faire une recormaisSance générale detosis les environs 'de Saint. Louis et spécialement de tous ' les points susceptibles d'être inis en état de défense ; il fit ensuite -Sin Vciyage à'lÇoree e ois il séjourna quelque temps,' e pIdiènfs Ciinrses 'Minéralo-
giques sur les r...6tes du cap'Verf;'ddila' baie 'de-.11filiique: et du cap de Nai.e. Nomme par S. Ex. le Ministre delà fi-farine 'ch'ef de la `commission d'exploration qui étak,irdeoimplMé'elrollY la troiLI
Sième fois, M. Gr-andin reparth pour. lefhlif&litégal en
if43ht i8Ào, et arriva 'heureusement à Bakel;dif ilio Séjourné "eéridaritnn an: Les guerres continuelles les différente-i peupladeS"du pays; l'ont ernpéché deiVieter
les mines d'or des pays 'de Bondou et de Barnbonk, jisi -qu'il en'!aVait été chargé ; il: à 'dei se borner àfaire des:ek sions peu éloignées dans le 'pade ses courses très - utiles à la Coltifii'edécouvran(bigise mens abOadans de pierres calcaires dont Onmangsuiit
lors pôssi.f"e-s'eonstructionS'dC
struetinn détaillée sur la ' 'Construtti'Cin'jet Id-Colidnite fours à chaux. Cependant la 'Sante de M.' (7,4randin- dépériSsait : décoitragé
Parli obStaàéS qiii semblaient se renonVeler sans éesseïkinü Pernpecher d'àtteindre le but principal de son voyage, il déSirait revenir 'tri-Eus-ô') e. Il en reçut l'ordre en août i'821; iIar à:Si.-Louis im mois après, et il se disposait à serribargtfey "pOiir la'France, ;lorsqu'une fièvre adynarnique' .
peu de jours,11e- ,1.6 novembre 182i'.
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cinquante ou soixante lieues.
En septembre 181,9, on youlnt envoyer une,pôt.ixelle exGrandin,et rg. ()blet, pédition, dans le pays de :Galarn. capitaine au Corps royal. du Génie, ,ftfrent chargés, sliellapartie scientifique de ce .voyage ils devaient remplacer à l3aiçiel ( établiss9ment français sitne A2isiy, lieues ee.la mer, ur la, frontière,desp,ays,de,Galarn et,kle 491-141ou), X.,13e,Chastelus,
(lé ingéniegéographe,, qui 'avait succônibé,, à des fatigues que le climat permçt raemept, 4ç,sufpp,RAfeL; mais les Ir itans du pays s'opposèrent à ce que les-bâtir-rens
Ni. :Grondin ,avait ,envoyél à:: M. le 'Direetedr .géttralr Ponts et Chaussées et des Mines pendant son séjour; auSé, négali, plusieurs rxséradires et rapports dont:les principaux 5:' sontt . .
Une-N4tiee, süt là mature des -.terrains r:IV:erses,- pari fleuve du SUé1, depuis son embonchure.jiisqù'à Poclie,4
2°: Un Rapport, extrait de ses notes et deeelles.de
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