Annales des Mines (1823, série 1, volume 8)
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256 SUR LA COGNOSIE DES ENVIRONS DE Vie.'
s'élevant successivement des couches de grès bi-
NOTICE ADDITIONNELLE
de marnes Nos. 5 et 4, avec gypse et calcaires de quadersandstein, et finalement de calcaire à gryphites, lequel, à partir de ce point, ne s'étend pas davantage vers l'est. L'orifice du trou de -sonde est déjà dans le terrain salifère. Voici les indications du sondage en descendant: Marnes argileuses grises , rouges, verdâtres, avec de nombreuses masses de gypse blanc, de gypse gris et de gypse argileux, dont l'épaisseur va jusqu'à 31u,67 ; 2 ,bancs d'un calcaire gris,
Au mémoire de M. VOLTZ sur le terrain
garré jaunâtre, de marnes, de calcaire N'. 6,
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-trouvés à la profondeur de 15 mètres et de 53 mè-
tres , le premier ayant in',7o de puissance, et le second étant très-faible. . . . . . . Sel en partie pur et blanc, en partie rouge ou gris et mélangé de marnes grises, de gypse et de calcaire, 9
re. masse
Gypse gris et blanc , marne rouge et argile salifère Sel gemme mélangé comme dans la Ire. masse , e. masse . . . . . . .
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Gypse gris et blanc et argile salifère.
de calcaire Sel gemme grenu noirâtre, de gypse et de peu de quarz , 3e. masse.. . Gypse terreux argile s'alifère et marne brune Sel plus ou moins pur, 4e. masse. Le 6 mai 1822, on avait encore tra. versé inférieurement des gypses et marnes entremêlés de sel. TOTAL.
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salip,re de Vic. DrPuis que M. Voltz a rédigé son mémoire sur le terrain des environs de Vie, il a été percé un puits qui traverse entièrement le terrain salifère, et qui a fait connaître la nature des roches qui le composent.
Pour compléter le travail de M. Voltz, .nous allons donner la description de ces roches, d'après les renseignemens que MM. les Ingénieurs Clère , directeur des travaux de recherche, et Levallois , ont fait parvenir à l'Administration des Mines.
Les différentes collines qui entourent la vallée de Vie, présentent à notre observation les formations de calcaire à gryphites non épineuses, de quadersanstein, de inusehelkalk, et les premières assises du grès bigarré. Le puits Beequey, percé. près de Vie, a été ou= vert dans ce dernier terrain. Avant d'arriver à la formation salifère, il a traversé r5 mètres de grès bigarré, composé de plusieurs couches. C'est dans ce grès que les eaux ont commencé à gêner les travaux. Les premières sources se sont fait jour à 9to,10c du sol, et les dernières ont été retenues à 4 rin,8oc, au milieu de divers bancs d'argiles schisteuses salifères, mélangées de gypse cristallin et compacte. Nous ferons observer en passant que les eaux ne forment point un niveau comme dans clifféTome VIII.. 2e. hW',