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SUR L AERAGE

..fera "sortir go pieds cubes de gaz dans le même

temps ; mais si le gaz inflammable est pur, sa disposition à sortir sera en raison de sa légèreté et de sa raréfaction-dans le conduit. J'admets, par ces raisons, sur l'évaluation de dix

pieds par seconde, qu'il sortira 3oo pieds cubes de gaz par seconde, ou i 8,000 pieds par minute; mais cette quantité est de beaucoup supérieure

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à ce qu'on peut présumer devoir être produit

clans quelque exploitation que ce soit: de sorte que l'on n'aura vraisemblablement jamais occa_. sion d'atteindre la limite que peut offrir ma méthode. La longueur du chemin dans un champ d'exploitation de 900 verges (822,6 mètres) excédera rarement f,200 verges. Quelques-uns des vieux.- ouvrages abandonnés étant- séparés des i.autres par des barrages convenables, pourront, avec peu de travail, devenir des conduits de. gaz dans mon procédé; mais si ce conduit doit être percé dans le massif de houille, il peut être accompagné d'une taille ; le gaz sera entraîné à mesure qu'il sera produit, et, aura un passage commun avec l'air ordinaire, qui a . pleine liberté de circuler dans la mine ; toutefois en se rendant au puits, il sera' précédé dans le canal par le fluide le plus léger. Pour éclaircir davantage ma méthode, je pré.

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DES MINES.

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charbon qui sont suivies jusqu'à la surface, et non interrompues par des failles. Dans ces mines, les explosions ne sont point connues.

touche plus, dans son prolongement, que le banc d'argile ou de pierre, il est évident qu'un tel déplacement ne permet plus la libre circulation des gaz- nuisibles ; ils ne peuvent plus se répandre dans l'atmosphère lorsqu'ils viennent de la partie placée au-dessous de la faille, tandis que la partie supérieure qui présente son arrête la plus élevée vers la surface, est demeurée sans danger comme auparavant: dans ce cas, je perce une suffisante

quantité de trous pour faire communiquer la portion inférieure à travers la faille avec celle qui lui est supérieure, afin que le gaz puisse continuer sa route.

Les mines de Netherton et de Buffery, dans le Staffordshire, avaient éprouvé depuis bien (les années de terribles explosions du feu grisou (fire-line), tellement que les mineurs ne pouvaient y travailler, tandis qu'un autre champ

lement imperméable au gaz inflammable; ce livre

(l'exploitation, qui n'était séparé du premier que par une faille de quelques verges d'épaisseur, mais qui avait occasionné un déplacement de couches de 5o verges ( 45m7o ) en hauteur, était absolument exempt de toute ac-

figurera une couche de houille qui est divisée elle-même en feuillets correspondans à ceux du livre. C'est précisément le cas des couches de

sémination libre du gaz hydrogène dans l'atmosphère est empêchée, il est naturel qu'il se

sen terai la comparaison suivante: si l'on place dans

une position oblique un livre grand et mince sur un lit de pierre ou d'argile, et qu'on le recouvre d'un autre lit ou banc semblable et éga-

Il

Mais lorsque la couche est interrompue par une faille qui, pour continuer notre comparaison, pourrait être imitée en coupant le livre dont nous avons parlé en deux parties, et abaissant. ou élevant l'une d'elles de manière qu'elle ne -

cumulation de gaz inflammable. Lorsque la dis-. répande dans les travaux à travers les fissures les

plus larges qu'il peut trouver, et qu'il se forme

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