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Annales des Mines (1823, série 1, volume 8)

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manière à pouvoir mettre le tablier au niveau, et même au-dessous du niveau du canal de fuite, et à ne plus être obligé de donner à l'eau sortant du réServoir rine-vitesse qui est tout-à-fait perdue pour l'effet utile. On éviterait aussi la détermi-

nation des dimensions de l'ouverture de sortie, qui embarrasse toujours beaucoup les chefs de forge. Cette ouverture de sortie est déterminée Détermin tion de l'onTenure de sortie de l'eau. 1[1'

de la manière suivante : Elle est assez grande pour que l'eau ne s'élève

pas trop dans le réservoir d'air, et ne passe par l'homme etle bourec; et elle est assez petite pour

chées, et la détermination en est difficile. La plus' petite est la meilleure. Comment Si nous avions aujourd'hui à établir la trompe nous établide Gante, nous prendrions d'abord&-_--om,4o, qui' rions la trompe est la plus petite valeur de h que noirs ayons emd'après nos ployée dans nos expériences. Nous emploierions expériences, un réservoir d'air sans fond plongeant dans l'eau et quel avantage il en ré.- et nous mettrions le tablier à o11,32 au-dessous sulterait.

Voyons maintenant, d'après notre formule, 600 . S . /z

du niveau de l'eau de fuite. Ce tablier seraitaudessus del'eau dans le réservoir d'air, pu fscpie pèse-vent à eau indique toujours plus de 0rn,32 dans le travail de la forge à la catalane. Nôtre valeur de IT serait alors de 811,84 , au lieu de 7/r,41' qu'elle est maintenant. Pour le travail, nous adopterions le plus grand canon du bourec que nous

ayon3...vu employer aux forges qui donnaient des 'produits avantageux, savoir : S=. on-,000g.

-4 d" ( H 14 d )

R,

de combien nous diminuerions la dépense d'eau pour cette trompe. ,0722, qui est la plus grande valeur Pouf de--d- dans le travail-, on aurait .

-e

E

o'

26o , au lieu de 0,110, que l'on a

pour la trOmpe telle qu'elle est en usage ce qui réduirait la dépense d'eau à - à o'.354 de ce qu'elle est.

quel:eau s'élève assez dans le réservoir d'air, et ne laisse pas échapper l'air par l'ouverture de sortie

de l'eau. C'est par tâtonnemens qu'on a l'habitude d'en déterminer les dimensions ; mais ne pouvant pas être les mêmes pour tous les degrés du pèse-vent , les limites ne sont assez rappro-

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SUR - LES TROMPES.

EXPÉRIENCES

Pour cl

o,o271, qui est la plus petite 'valeur

on aurait R =_-_'-e=o,o868, au lieu de o,o37

de

que l'on a aujourd'hui; ce qui réduirait la dépenSe à o,364 de ce qu'elle est. La dépense ne .

,serait plus que le tiers environ de ce qu'elle est.

Maintenant qu'on peut déduire la dépense

Détermi-

d'eau de l'effet dépensé ,nri déterminera le nom- nZiti;1?Iel ((t. bre d'arbres que doit avoir la trompe. On pren- bres dra pour dimensions des ouvertures des arbres celles en usage à Vic-Dessos , savoir : 0m,22 sur 0'1,22. On supposera que les ouvertures des étranguilloris sont moitié de Celles des arbres, et sont à on',4o au-dessous du niveau de l'eau, et enfin que le coefficient dû à la contraction de la veine

fluide passant par les étranguillons est 0ni,70

( comme le confirment les expériences du tableau B, comparées à celles du tableau A, qui donnent les mêmes résultats ), et on trouvera combien il faut de ces étranguillons pour faire la plus grande dépense nécessaire.