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SUR LES PRODUITS METALLURGIQUES

DE L'INDUSTRIE FRANÇAISE.

outil. Les filières de M. Hue sont généralement estimées ; il fabrique lui-même l'acier qu'il emploie, et il l'obtient en traitant des débris de marmites de fonte. M. Hue a rendu service à deux branches importantes de l'industrie française. M. Bertrand-Fourmand, à Nantes, Loire-Inférieure ( n°. (4), a exposé des câbles en fer, à l'usage de la marine, objets dont l'exécution est atisfaisante. Ce fabricant est le premier, et jusqu'à présent le seul, qui ait exécuté en France de pareils câbles, dont l'usage est ancien en An-

sonde en fer forgé; objet important pour la recherche et l'exploitation des substances minérales.

pour le même objet dans les forges royales de la marine, à Guérigny, département de la Nièvre,

sur-Marne, dont M. Billet est directeur, a exposé des étaux, enclumes, filières et autres objets déjà indiqués ci-dessus L'Ecole royale d'arts et métiers d'Angers, dont M. Labite est directeur, a exposé des étaux, bigornes , doloires, cisailles, peloteuses, etc., déjà rappelés

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gleterre. Un grand atelier vient d'être achevé et il est sur le point d'être mis en grande activité; ; mais l'atelier de M. Bertrand-Fourmand existe déjà-, depuis assez long-temps, à, Nantes

par cette priorité, autant que par la bonne exécution de ses câbles en fer, M. Bertrand-Fourmand mérite une distinction. M. Hildebrand, à Paris ( no. 267), fabrique en alliage métallique, dit composition de timbre de pendule, des cloches, des grelots et des sonnettes de table et d'appartement. Ce fabricant est le seul qui soit parvenu à employer Cette composition, naturellement dure, sonore et susceptible de prendre un très-beau poli, pour en faire des sonnettes d'appartement. Ces élégantes sonnettes sont ornées de dessins en couleur qui sont très-

M. 11Iagallon jeune, à Gap, Hautes - Alpes n". 21 ), a exposé un outil pour tailleur de pierre, dit boucbarde. D'après les essais qu'en. ont fair les marbriers de Paris, cette boucharde est préférable aux outils du même genre qui sont fabriqués dans la capitale. Il convient aussi 'de citer avec éloges les établissemens et les personnes dont les noms suivent

L'École royale d'arts et métiers de Châlons

M. Henri Didot, à Paris (rio. 3o5), fabrique

des règles d'acier par le moyen d'une mécanique; M. Thiebaut fils., à Paris ( no. 1280), des cylindres de cuivre , destinés à l'impression des toiles peintes ; M. Leignadier, à Paris ( no. 1527 ), des tubes métalliques de tôle plaquée en laiton , objets

dont il a importé la fabrication en France, .et qu'il emploie pour confectionner des lits et des

adhérens et dont l'application sur le métal ne

rampes d'escalier ; MM. Perrenet et Mouget , à Pontarlier, Doubs

diminue point l'éclat du son. M. Hildebrand est -aujourd'hui le seul qui fabrique les timbres de montres à répétition. M. Billiard, à Paris ( 1542), présenté les,

faulx ;

diverses pièces, très-bien exécutées, d'une grande

( n°. 782), des ciseaux de menuisier et autres outils bien exécutés , qui confirment ce qui a déjà été dit des mêmes fabricans au sujet des M. *Ruffié, à Foix, Ariège ( no. 54 ), des ciaa2

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