Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1823, série 1, volume 8)

898 TRAITE (triimmer.gesteine), roches pulvérulentes (lose ges-

DES ROCHES.

teille), et roches formées de produits d'origine 07' ganique , ou charbons (kohlen). Eu égard à leur STRUCTURES il distingue les roches grenues, schis-

.

toïdes, compactes, porphyroïdes et amygdaloïdes. M. de Leonhard traite ensuite des PARTIES. MÉLANGÉES dans 1e taches ( parties accidentelles de M. Brônginart); puis des PÉTRIFICATIONS qu'elles renferment ; des PASSAGES des roches entre elles ; des ,CHAINGEMENS qu'elles éprouvent par, les allé-

ratiOns atmosphériques ou par le fetÉ: Dans la -section suivante, et sous le titre de FAITS GÉOGNOSTIQUES SERVANT A CARACTÉRISER LES ROCHES,

il

examine la stratification, la séparation (absonderung', ë'est-à-dire la diVision des rochés en figures plus ou moins régulières, lafissztration(zedliiftung ;la disposition enfilons ou en bancs (lager). La section qui vient ensuite est intitulée VUES GEOGNOSTIQUES ET GÉOLOGIQUES:SUR LES RAPPORTS D'AN-

CIENNETÉ ET LE MODE DE FORMATION DES ROCHES;

elle traite du gisement des roches , des conséquences qu'on peut en tirer, et de la division 'généralement adoptée en roches primitives, intermédiaires secondaires, d'alluvion, et'volcanies: Uanteut 'examine ensuite l'INFLUENCE DES

puis il traite de leur NOMENCLATURE : il Veut un nom

ROCHES SUR LA PHYSIONOMIE DES MONTAGNES;

particulier pour chaque roche , et indique les

principes d'après lesquels ces noms' peuvent être donnés. SODS le titre de CARACTÉRISTIQUE des roches ( titre qui est celui de l'ouvrage entier ) M. de Leonhard expose que ce qu'il désigne sous ce no m,c'est-à-dire l'histoire de chaque roche,doit se diviser en trois parties : la partie minéralo-

gique, qui traite de la nature de la roche, de sa structure, de toutes ses propriétés, des passages

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u'e:le présente, et de sa décomposition. La seconde partie, consacrée aux faits géognostiques et aux-vues géologiques, doit renfermer tout ce qui est relatif à la stratification, à la séparation, à la fissuration, à la disposition en filons, ou en bancs subordonnés ou étrangers, aux rapports de position, d'ancienneté, et au mode de formation des roches. Dans la troisième partie, on doit traiter de la configuration des montagnes formées

par telle ou telle roche, et donner des indications sur la manière dont elle est plus ou moins répandue sur la terre. Le dernier chapitre de cette introduction traite de la CLASSIFICATION DES ROCHES. L'auteur digiingue la classification minéralogique et la classification géognostique, discute

brièvement l'un et l'autre mode, pense, en s'appuyant de l'autorité de M. de Humboldt, lue la classification minéralogique est la seule qui fasse

connaître ce qu'il y a de constant dans les réunions naturelles des minéraux, tandis que toute classification géognostique , repose, dans l'état actuel de nos connaissances.,,, sur des faits mêlés de trop d'hypothèses pour pouvoir être employée. M. de LeonhardeStainsi conduit à adopter un

mode de classification minéralogique,pour les roches, comme l'ont .,fait depuis peu plusieurs géologues français ; tandis que ce mode est rejeté

tous les savans allemands, qui cependiiiii, tont en refusant de l'admettre, en font p,i'ltresque

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çontinuel dans leurs travaux, puis-

..cresignient tOneiirS,.liar les 'Mêmes noms

les rpJs de meineaitiiel,l, quel que soit l'âge deSfOrM'ations dans leS,ânelleS elles se présentent. 'Gkirnm e con cl us ion' &S. princiPeS énOricés dans