Annales des Mines (1825, série 1, volume 10)
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SUBSTJANCES MIPTERALES.
ANALYSES
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axe; ce mica a déjà 'été analysé par Klaproth et c'est vraisemblablement celui dans lequel M. Peschier annonce avoir trouvé o,3n de protoxide de titane ; 2'. le mica blanc à deux axes d'Ochotz , en Sibérie ; et 3'. un mica à deux axes des environs de Fahlun. J'ai obtenu les résultats suivans Silice. 'Alumine Oxicle de fer Magnésie . . . Ox de mangan Potasse. . . .
Fahlun. Sibérie. Ochotz. 0,4.000. .0,471 9 0,4622 0,1267. . . o,3380. . 0,5452
0,1902.. .°,0447..°10604 0,1570 0,0258..0,0211 o,0063 0,0561...0,0835..0,0822 0,0013.. Chaux. . . Acide fluorique. 0,0210 . .0,002,9 0,0109 Eau.
.
.0,0407 . 0,0098
Acide titanique. 0,0163 0,9736
1,0088
0,9918
Ces nouvelles analyses s'accordent parfaitement
avec les anciennes, et elles portent à conclure Que la composition des micas à un axe est représentée par la formule :
A) F
S
)(K) f S, mg)
et que les micas à deux axes ont pour formule
KS3i 12
s-
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deux axes. J'ai supposé que le fer se trouve dans le mica vert de Sibérie , partie à l'état de protoxide, partie à l'état de peroxide. Note sur la présence du TITANE dans le mica; par M. Vauquelin. (An. de Ch., I. XXVII, p. 67.)
J'ai examiné un grand nombre de micas pour y chercher le titane que M. Peschier annonçait y avoir trouvé en proportion considérable. J'en ai rencontré des traces dans fous; mais ceux qui en
contiennent le plus ne m'en ont certainement
pas donné un centième. Pour faire cette recherche, je fais chauffer le mica avec deux parties 'de potasse; je délaie dans l'eau, je sature .d'acide muriatique, et je fais évaporer lentement. J'obtiens de la silice,que je lave et que je fais bouillir, encore humide, avec de l'acide muriatique concentré. Je fais évaporer la liqueur jusqu'à ce qu'elle ne soit plus que Liblement acide ; je l'étends d'eau, et j'y verse de l'infusion de noix de galle, qui en précipite le titane à l'état de tannate d'un rouge jaunâtre, si le mica en contenait. Pour reconnaître s'il reste du titane dans la silice je la fais bouillir avec une forte solution de potasse, j'étends d'eau , je sature d'acide unifiatique, et je verse de l'infusion de noix de galle dans la liqueur.
MaiS je conviens que l'exactitude de ces formules
a besoin d'être vérifiée par un plus grand nombre d'analyses. Si mes conjectures se confirment, tous les micas à un axe devraient être de couleur verte ; car cette couleur annonce la présence du protoxide de fer, qui, comme base à deux atomes d'oxigène, ne peut être contenu dans les micas à
Recherches sur i'llAinvioTomE de Marbourg;par MM. Gmelin et flepel. ( Zeitschrift fur mineralogie. f824, p. L'harmotome de Marbourg se trouve dans une roche basaltique ; elle se présente en cristaux dodécaèdres , dont la forme primitive est un oc-