Annales des Mines (1825, série 1, volume 10)
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SUR -.QUELQUES PART/ES
c'est-à-dire comme de beaucoup antérieur au GO-; rat Rag. Seconde forNotre seconde formation .marneuse correspond 'nation mar' probablement aux deux parties inférieures du calneuse. caire oolithique de M. Hérault, quoique avec des différences assez remarquables; mais si on la compare aux formations d'Angleterre, décrites l'ouvrage de MM. Conybeare et Philipps,dans on
Calcaire à gryphées.
Marnes et lumachelle.
trouvera qu'indépendamment couches argileuses et marneuses de l'oolithedes infériezei e, elle doit comprendre plusieurs des assises de la for-2 !nation du Lias; et qu'ainsi une distinction fondée, dans le Jura, sur une différence essentielle dans la stratification, et se trouvant, en Bourgogne, en rapport constant avec la configuration du sol, ne s'est pas présentée en Angleterre à l'observation des géologues. Notre calcaire à gryphées arquées se retrouve, .
en Normandie, différent encore dans plusieurs de ses couches de celui de l'Auxois, En Angleterre, i! paraît constituer lesparties moyenne de la formation du Lias; mais, dans etinfériewe cette partie inférieure, sont probablement comprises aussi des couches analogues à celles des terrains demarnes etlamachelle de Bourgogne: telle est du moins l'induction que je puis tirer de. deux ou trois échantillons de roches provenant d' dlustcliffsur le bord de la Severn, en Glocestershire, qui font partie de la belle collection donnée au cabinet. de l'École.
royale des mines de Paris par MM. Brochant
de Villiers, Dufrenoy et Élie de Beaumont, et qui sont classées comme appartenant aux assises inférieures du Lias. On assure que des roches analogues se retrouvent clans la même position autour des terrains intermédiaires des Mendip-Hills
Sounnersetshire, où on les désigne SQUIS
DE LA BOURGOGNE.
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nom de Lias blanc (i), ainsi que près deWhitby en Yorckshire.
Nous ne pouvons trouver aucun document ArkOse pour notre recherche de classification, relative- Psaiiimite ment au terrain d' adose, qui n'a encore été (à ma connaissance ) l'objet d'aucune description géognostique. On peut être tenté de rapporter à ce terrain la roche des environs de Quetehou, département de la Manche, décrite par M. Duhamel (2), mais sur le gisement de laquelle l'auteur ne donne pas de renseignemens. On assure que des roches fort semblables à nos arkoses se pré, sentent, dans le Cotentin, en couches subordonnées aux terrains de transition ; on m'a aussi indiqué, comme assez analogue, une roche arénacée qui, aux environs d'Alençon, se montre seule entre le granite et les calcaires oolithiques. Une roche quarzeuse coquillière, provenant de la pente nord des Mendip-Hills, près de Harptree, présen te quelque ressemblance avec certaines variétés de farkose coquillier d'Avalon; mais il ne paraît pas
que les minéralogistes anglais se soient formé aucune opinion certaine sur la classification, de cette roche, qui n'est, dit-on, recouverte par rien.
Cependant, elle semble être indiquée comme nemred-sandstone dans la première (les coupes générales de l'Angleterre, jointes à l'ouvrage de M. nybeare, et l'on sait maintenant que le necp-red Pa rmi les échantillons de roches de cette localité, que j'ai vus désignés sous ce nom de Lias blanc, aucun ne m'a paru semblable aux roches du terrain de lumachelle, tandi:: que plusieurs m'ont rappelé le calcaire blanclaundtre Mar.neux des formations supérieures de Bourgogne. (2) Essai sur la lithologie du département de la Manche (Journal des mines, no. 92, p. 272..)