Annales des Mines (1825, série 1, volume 10)
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sur, LES MINERAIS DE ZINC , etc. (won remplit les creusets ;3[s:res1ent constamment ouverts, et-ne sont jamais fermés tous àr-la-fois, L'oUvrier peut, leur moyen, diriger le feu dans une partie quelconque du fourneau. La cheminée conique, qui enveloppe tout lp four, est percée de portes correspondant ,aux creusets. tz,a, Pétità Murs que_PC4-détrul,t à:VOIOnté vous faire entrer ou sortir les potsï',i1S-Sdrit cb'mpes de briques, pernies d'un trou, qui pes-tnet'éi 'y introduisant une tige,d'e'ler,. de les enlever commodément étant:encore:chaudes. Porte du four qui se, ferme, avec une brique.
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ESSAI_ CHIMIQUE SUR
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Cendrier dans lequel Pouvrier peut entrer pouruetloyer les grilles. e, e, e Conduits, dans l'étage inférieur, , correspondant aux creusets dans l'étage supérieur. g, Bassins dé'réception en tôle, dans lesquels se rend le zinc. Tube cylindrique entôle, qui s7adapte au condenseur, et conduit le zinc dans le bassin de réception. 'COnden.seur : c"dst".un tuya(i de..tôle légèrement co:-, nique, Portant à sa .partie, supérieure' 'Un petit rehordlpar le creuset. 'Pour l'y fixer, -On étend. lequel ii s'appliqUe' sur ce rebord ns bdudin d'argile et on le presse 'fortement contre le creuset, et afin de le maintenir dans cette, posi[ion, on a,denx tringles en fer kk,,qui.s»nt fixées,ea,ns partie inférieure du condenseurpir nbouton, et qui pas;sent dans une petite pièce en fer rit "sceliée dans le mur ; on presse les tringles avec une vis de Pression iz. La k.'3,,daris la.quelle on. a représenté là.; coupe vertiCale du.' ereusW,Ï montre, en détail la disposition de cet appareil, qui sért)à.; serrer le cOndenseur coutre le fond du creuset. 1,2, Niveau de 'l'étage supérieur. Nive9.u.du plafond inférieur. '5 6 Niv-ean. de l'étage inférieur. Fig. 2. Plan au niveaii de 1,2 : on n'a représenté que la moitié du plan. , Fig. 3. Coupe verticale d'un creuset, et de l'appareil qui sert à serrer le condenseur contre le creuset. Fig. 4. Pinces à'roues pour le trausPort' de, creuset_ .
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chnuds.
5. Plan au niveau de 3,4.
LES RÉACTIONS FOUDROYANTES, Par C. -J. BRIANCHON, Capitaine d'artillerie. ( Extrait.)
- LieSfrnixtesfuhnilzans sont ceux qui, chauffés
à- l'air libre, se dissipent avec bruit. L'hypothèse de Berthollet sur la cause des fulriiinans ne rend pas compte de toutes les circonstànces qui accompagnent ces phénomènes. Tel est le motif qui nous a porté à faire des recherches
sur un sujet qui intéresse à-la-fois la physique, l'artillerie et l'art des mines. Ces recherches nous ont stiggéré une théorie nouvelle, qui cadre avec les faits : nous allons d'abord l'exposer, puis nous
étudierons des eXemples choisis; savoir, l'or fulminant, le cyanate d'argent,' l'a poudre fulminante; enfin nous proposerons, pour cette dernière substance, un emploi particulier, utile à l'art militaire et à l'art des mines. Nouvelle théorie de la fulmination. Dans l'his-
toire de chacun des mixtes fulminans, nous constaterons les résultats d'expériences que voici : ré. dans leur effet sur une surface plane , les
Mixtes fulminans développent une force principale, qui agit dans le sens de la gravité ; 2?. lorsqu'une petite quantité de mixte ftdminant ,esi renfermée .114ns 'un grand vase de verre clos , ce-
lui
- ci supporte sans se rompre une chalet! r