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EXTRAITS DE JOURNAUX.

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éprouver que peu d'altération de la part de l'acide hydrosulfurique. 52. Sur le volume que L'oxioii:Nt occupe dans les OXIDES; par M. Hérapath. (Phil. mag. , 1824 p. 322. ) Pour Calculer le volume que l'oxigène occupe dans les oxides, M. Hérapath a déterminé avec un

très-grand soin la pesanteur spécifique de ces oxicles et des métaux qui en font la base, et il a supposé que le métal, en se combinant avec l'oxigène , n'éprouvait ni contraction ni dilatation ; il a trouvé les pesanteurs spécifiques suivantes (prises à la température centigrade)

8,659 Oxid .de plomb puce 8,902

Oxide de cadmium.. 8,183 Arsenic pur. . . . 5,672 3,729 Carbon. de cadmium 4,42o Acide arsénieux 9,831 8,900 Bismuth. Cuivre fondu 8,211 Oxide de bismuth Protoxide de cuivre fondu. . . . . . . 6,052 Oxide rouge de fer 4/959 6,40 Protox. de mercure 10,690 Deutox. de cuivre Sulfure de cuivre . 5,792 Dee. de mercure. 11,074 6 7o7 Étain pur. . . . . 7,285 Calomel Protoxide d'étain . 6,666 Oxide d'argent. . 7,143 Deutoxide

6,659 Chlorure d'argent .

.

5,129

.11,352 Suroxide de nickel. 4,846 Plomb pur Protoxide de plomb. 9,277 Suroxide de cobalt. 5,522 Minium

Condensation de l'oxigène.

VOL UME S

du métal, de l'oxigène.

Oxide de plomb... O. roug. de plomb.

2036 2472

5

Ox. puce de plomb. Protox. de mercure.

2

Deut. de mercure.. Acide tungstique..

2761 1262 2500 1039

Oxide rouge de fer.

nocà

Deutox. de nickel. Protox. de cuivre.. Deutox. de cuivre.

1896 1295 2255

4

Oxide d'argent.... Deutoxide d'étain. Acide arsénieux...

989 3694 1534

9

3 1

6 cl

5

2

4 5 5

3 2 1

Pesanteur spécifique.

Pesanteur spécifique.

Cadmium

OXIDES.

o6

tungstique

5,274

lAcide

et de ces données, il a conclu la condensation de foxigène dans un certain nombre d'oxides , comme on le voit dans le tableau ci-contre

Les nombres contenus dans la colonne des condensations indiquent le rapport du volume de l'oxigène à l'état de gaz, au volume qu'il occupe dans l'oxide. 33. Sur la précipitation des MÉTAUX de leurs dis-

solutions par d'autres métaux ; par M. Fischer, professeur à Breslau. ( An. der phy. und ch. ,

juillet, 1825, p. 291.) La réduction d'un oxide métallique de sa dissolution dans un acide ou dans un alcali par un métal dépend des causes suivantes Et principalement de l'affinité relative des deux métaux pour l'oxigène. 2d. De l'affinité de l'oxide du métal réduisant

pour l'acide ou pour l'alcali : c'est pourquoi

l'étain, le bismuth, et même le fer, ne peuvent réduire qu'un petit nombre de sels; tandis que le