Annales des Mines (1827, série 2, volume 1)
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den to-chlorure et T e deutosulfure (le. mercure. Le cinquième ordre des composés ternaires comprend ceux qui sont de nature organique, et c'est par un exposé de la méthode que je propose pour eux que je terminerai cet extrait fort aride et déjà trop long; ce que j'ai. dit jusqu'ici suffira, je pense; pour faire concevoir la manière dont je procède à la classification et à la nomenclature des corps quaternaires et quinaires. Composés ternaires organiqueS, ro. famille. Acides.
->e ---- Glucides. 3e.
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Saccharides. Gornaddes.
4e. -5e. -- Amylides. 6". --- Lignicies 3e. --
Colot-ides.
Résinides. Oléides.
10e. Odo rides.
L. Alcoolides.
Nomenclature actuelle. Exemp. Olivile glycyrhile oléile.
Saccharite , avite, mannite.
Gommite adragantliite , bassorite. Inulite , amidimite,
Hordéite, subéritè Ultnin , gallin , gentianin , hématin. Guajacime
pinime , courbarime, succinime. Elaïme , stéarime , cholestérime. Anisime, camphorime, couinarime. Pyracétime alcootitne éthérime.
Appendice général. Produits végétaux glucides, saccharidés, gomuaidés, coloridés, résinidés, oléidés, odoridés, alcoolidés. 3. Note sur la CRISTALLISATION des minéraux ;
par M. Vincent, professeur de mathématiques au Collée royal de Reims. ( An. de Ch., t. 31, p, ,104.)
Il y a quelques années, l'Académie (le Berlin
EXTRAITS DE JOURNAUX.
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proposa pour sujet de -concours la recherche d'une relation entre la forme cristalline et la composition chimique des minéraux. Le prix fut décerné à un mémoire, dans lequel l'auteur, M. A.-F. Kupffer,, déduit de l'examen et de la comparaison d'un assez grand nombre de miné-. raux pris dans les divers systèmes de cristallisation l'existence de la formule suivante Ps P'
formule clans laquelle y,yi représentent les volumes des formes primitivele deux substances prises dans le même système, les axes étant supposés égaux, s,s' étant les poids spécifiques des deux substances, et Pip' les poids respectifs de leurs atomes. Bien que le travail de M. Kupffer ait été couronnépar l'Académie de Berlin, et qu'un extrait de son mémoire ait été accueilli dans les Annales de Chimie et de Physique (avril 824), quelques personnes pourront. penser que la loi énoncée n'a pas été vérifiée sur un assez grand nombre de minéraux pour mériter une pleine confiance; d'autres objections pourront se présenter encore ; peut-être même ces :objections ne sont-elles pas
sans quelque fondement, c'est une question sur laquelle je ne veux rien préjuger; mais on déduit de la loi de M. Kupfferdes conséquences qui me paraissent assez remarquables pour que j'aie cru devoir ne pas tarder à les faire connaître, dans le but seulement d'engager les personnes placées
dans une position plus favorable que moi à
soumettre cette loi à de nouvelles épreuves, soit