Annales des Mines (1827, série 2, volume 2)
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DE IIINTERLIEDE gr. .T,A,T TERRE.
ESSAI SUR 'LA TEMPERATURE
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servations faites dans quatre Mines de Cor-
Tableau des observations faites sur la température de l'ew
des puisards dans les mines. PI aron-
LIEUX, AUTEURS
Praos. dent corre,
TEMPÉR ATURE
pou,
MINES.
et dates
des
stations.
DES OBSERVATIONS.
Métres.
Mine de cuivre de SouthHuel-Towan. .
82,3
Mine de cuivre et étain
1 57,4 de Huel-Unity-Wood 263,5 Id. de Poldiee Mine de cuivre de Gwen-
Cornouailles.W.Fox. Publiées en 182.2.
Il ap..
des rui. moyenne sarde.
Degrés.
dante race: oh sonnas
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chaleur..
Degrés. Meno
15,6
274,5
17,8 25,6 26,7 24,4 26,7
15o
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15,8' 19
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Il)
19,5:
Devonshire. W. Fox. ; Mine de plomb de Bee- 219,6 - Publiées en 1822. I ralston
9,2 18
0
234 334
Suise. De Saussure.
57/4
9(1)
96,,
( Id. de East- Liscomb
l Mine de Huel-Friendship. 311,i
220 Au printemps de Mine de sel de Bex 1185. 4, Bretagne. D'Aubuis- i Mine de plomb et son. 5 sept. 18o8. ? de Poullamien argent' i 15o I
14,-2
13,5
is,5 il, 5
I
D'après ce tableau , la profondeur correspondante à l'accroissement d'un degré de chaleur serait ( en nombres ronds ), savoir : par six oh-
59( 75
nouailles de 19 à 15 mètres, moyenne 17 ; par. trois observations dans trois mines du Devonshire de 39 à [9 mètres, moyenne 27 ; par une observation à Bex de 26 mètres; et par deux ob-
servations à Poullaouen de 75 à 53 mètres,
moyenne 64. 30. Enfin, on ne peut contester que les eaux, qui sont stagnantes dans les mines sous forme de grandes inondations , de véritables lacs souterrains, ne soient,. après un long séjour, trèspropres à donner des indications fort approximatives sous le point de vue qui nous occupe. Les observations de ce genre mènent généralement à des résultats inférieurs à la température propre du terrain situé au rné,me niveau, à moins que l'amas d'eau n'ait une grande profondeur; car alors la surface du liquide pourrait mani-
fester une chaleur qui appartiendrait à. un niveau inférieur. Dans tous les cas , les notatiOns qui ont été recueillies approchent assez de l'exac.titude pour qu'il soit indispensable de chercher quels sont les nombres qui expriment l'accroissement de température souterraine qu'on en peut déduire. C'est ce que le tableau suivant, contenant les résultats de neuf observations faites en. Bretagne, eu Saxe et eu Angleterre , nous ap,G'Prend.
(s) Cette moyenne température est approximative et vraisemblablement un maximum. Connaissant les lieux, 'cbnclue des données suivantes : moyenne tempéraje Wahlemture de Zurich , 3.,3, par -six années, Escher et Salis, et berg. Idem, de Coire, 9022,, par quatre années, de "Wahlemberg. Idem, de Genève, 9",6. celles Les autres moyennes de mes quatre tableaux sont revienexpériences ont indiquées, je flue les auteurs des 41rai ci-après sur leur mérite.
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