Annales des Mines (1827, série 2, volume 2)
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Essm SUR LA. TEMPÉRATURE
sont en terre ou en ,gravier ; des efflorescences
salines se manifestent en très-grande abondance et les eaux deviennent: fortement vitrioliques, inconvéleur circulation dorme lieu à divers
'liens auxquels le mineur doit pourvoir; enfin, pour peu qu'une .masse de déblais ou de rocs éboulés .et affaissés vienne à prendre mie température supérieure à celle des travaux environmins, il n'est aucun ouvrier qui n'en fasse la remarque.
Ainsi, par exemple, lorsque je suis descendu on a dans les mines de Decise le 1er. sept. 1825 , dont le point de vue prévenu mes questions sous anciens il s'agit, ertin'indiquant une portioirdes laquelle j'ai travaux, très-éloignée de celle dans où dont je rendrai compte, fait les expériences La travaillaient absolument nus. les mineurs de houille d'un vieux massif taille était au milieu longcerné par des .déblais -échauffésla depuis taille qui vetemps. A la main , la surface de therparaissait tiède. Au nait d'être dépouillée 27 momètre, l'intérieur de la houille a marqué la cha8 degrés de plus que degrés, c'est-à-dire leur propre que le terrain aurait dû présenter à peine dans ce pece niveau. L'air qui circulait à tit ouvrage marquait 28 degrés. d'expoJe terminerai ce qu'il était nécessaire qu'une partie ser à ce sujet, en faisant remarquer des observations que nous avons discutées ont avait été faites soit dans des excavations où il n'y où il en point de pyrites , soit dans des mines si peu existait une si petite quantité ou bien de décomposables, qu'on peut en faire abstraction. aux Cette remarque s'applique nécessairement les conduits de nature si variée, dans lesquels
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il mur, DE LA TERKE.,-
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eaux qui filtrent dans les mines, et même en général celles des sources superficielles, vont prendre leur température. A l'égard des mines:où,41 existait des pyrites en quantité tant soit pett,no table, les observateurs se sont assurés qu'il n'en pouvait résulter aucune influence sur la température des excavations où ils ont opéré. L'habileté des observateurs ne peut laisser aucuh doute à ce sujet, et leur témoignage, fortement-prononce, est en harmonie avec ce que noas.venons d'exposer.
Nous résumerons maintenant de la timniei,e suivante les conséquences qu'il faut tirer de la première partie de notre travail Io. Si l'on écarte un certain nombre d'obSer-à vations comme offrant trop d'incertitude , tolites les autres annoncent d'une manière plu.s- ou
moins positive qu'il existe un accroisserrieht table de température à partir de la:surface de la terre vers l'intérieur : c'est donc avec râisori; kme l'on avait admis cet accroissement. 20. Les résultats recueillis à l'Observatoire de Paris sont les seuls dont on puisse conclure avec certitude une expression numérique dela loi que suit cet aCcroissement. Cette expression porte à 28 mètres la profondeur qui correspond à l'augmentation d'un degré de chaleur souterraine (et pour le dire en passant, il en résulte queela,ter,nr pérature de l'eau bouillante e serait qU'à' mètres, ou une bonne deuil-lieue, au-dessous de Paris). 3° -tous les autreserésultats, un, eijtit nombre seulement fournissent des expreSS1Cmg numériques assez approximatives de la foi thee: ,
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chée:pour qu'on puisse les porter en 4tfe, de