Annales des Mines (1829, série 2, volume 6)
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vitesse de 11,2 milles par heure. La dernière est une machine proposée, pour la route de Liverpool à Manchester, par MM. Walker et Rastrick. On observera que, d'après ce tableau, l'effet de ces machines, déterminé en multipliant la charge par la distance parcourue, est toujours le meme
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quelle que soit la vitesse qu'on leur donne; mais ces résultats ont été calculés par les ingénieurs anglais , en prenant pour base le travail de la ma-
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or, nous avons vu que l'effet
des machines, d'après M. Wood , diminuait avec la vitesse du piston; elles ne tireraient donc pas, avec une vitesse double, exactement la moitié de la charge qu'elles sont susceptibles de traîner avec leur vitesse ordinaire, sans que la dépense en combustible et vapeur augmentât. Les données de M. Walker et celles de M. Rastrick présentent entre elles de si légères différences, que nous n'avons -pas cru nécessaire de les indiquer. La machine locomotive, que M. Robert Ste- machii., ,,phenson a envoyée l'année dernière à MM. Sel" l'?"tc guin pour le chemin de Saint-Étienne à Lyon , St.-Etienae ressernble , en plusieurs points , à celle de Bolyon. ton. Les roues sont aussi en bois, avec le contour en fer malléable ; mais la chaudière n'est pas portée sur ressorts, et les cylindres à vapeur sont