Annales des Mines (1829, série 2, volume 6)
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oarci,alFs.
SUR LES CHEMINS
verticaux et suspendus de part et d'autre entre les les roues qui n'ont pas mème essieu : ils communiquent le mouvement à celles-ci par un système de leviers et de bielles. La chaudière a en longueur. . . Io p. p°. Diamètre 4 » L'épaiss. des parois est partout. Le diam. des cylindr. à vapeur. 13 9 Course des pistons Diamètre des roues.
Poids des
férentes par ties.
.
.
. .
4
3m,05 1.3,22
o., or 03.1,22
2
0111,66
»
1.'22
Cette machine travaillera sous une pre.ssion de 5o livres par pouce carré dans la chaudière.
- Voici le poids des différentes parties de cet appareil, que M. Paul Seguin a eu la complaisance
de nous communiquer : Poids de la chaudière avec les cylindres et la char-
pente 5,644 kilogr. Les différentes pièces, telles que bielles, etc. 63o La cheminée. 181 4 roues en bois et fer et 2 essieux. . 1,285 Eau 1,695
TOTAL.. 9,433 kil.,
environ 9 lb tonnes.
A quoi il faut ajouter le charbon qui est sur la grille. Chariot d'approvisionnement. La caisse 4 roues et 2 essieux. Citerne
Eau, environ Charbon
TOTAL
.
.
410 kilog. 530 224 1,200 1,200
3,564
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Les machines locomotives de Killingsworth se Résultats rapprochent, dans les parties essentielles, des ma- Pnliques ohchines de Bolton ; nous emprunterons encore à tenus M. Wood M. Wood les résultats o.énéraux des expériences avec les maqu'il a faites avec celles de Killingsworth. chines loci,Ces expériences ont eu lieu avec une machine motives de locomotive, dont les cylindres étaient verticaux, les roues en fonte trempée , de 4 pieds ( I 22 ) worth. de diamètre ; les essieux liés entre eux par une
chaîne sans fin, la chaudière ayant 8 pieds de long et 4 pieds de diamètre. Le poids de tout l'appareil, y compris tonne ( 1,o15 loI.; d'eau,
était 16,800 livres; enfin, le frottement total des différentes parties (pistons , roues essieux, etc. ) de la machine avait été reconnu par l'expérience être de 384 livres lorsqu'elle est mise en mouvement par la vapeur. M. Wood a déterminé le maximum de charge que peut tirer, par le temps le plus mauvais, sans glisser, une machine locomotive sur un chemin de fer de niveau. Il a trouvé que ce maximum correspondait à une résistance égale à la vingt-cinquième partie de son poids , ou, en d'autres termes, quele frottement ou l'adhérence que la ma-
chine était susceptible de vaincre sans glisser était la vingt-cinquième partie de son i poids. D'après cela, on peut calculer les charges qu'elle
traînera sur une pente donnée, et la limite de pente à laquelle elle cessera de pouvoir traîner une charge quelconque. Voici un tableau établi par M. Rankine , dans
une petite brochure publiée sur les routes en
fer (1). H suppose l'état des rails le plus défavo(1) A popnlar exposition of the ,,,ffect
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