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.APPL1QUÉS AUX M1NÉRAIS D'ARGENT.

PnocÉDÉs D AMALGAMAT/ON

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ou de la matte avant le grillage, ainsi qu'après cette opération, afin de désagréger les parties

de galène , ils ont été regardés jusqu'à présent comme de nature à ne pouvoir être traités par l'a-

agglomérées et de les remettre à l'état d'une poussière fine.

malgamation, parce qu'ils laissent toujours réduire du plomb pendant leur grillage ; d'ailleurs, dans cette opération, le chloride de fer ne convertit qu'en partie ce métal en chlorure, et seulement

20. D'un grillage très soigné, par lequel les sulfures métalliques et les sulfates avec excès d'oxide seront décomposés aussi complétement que possible. Lorsque les matières soumises à

à la superficie des globu les; en fin l'amalgamation, à l'aide du fer, décompose ce ch lornre,-et le plomb

métallique se combine en entier avec le mercure. Si l'on voulait débarrasser cet amalgame du plomb qu'il contient, il faudrait, avant de le passer à travers le coutil (anspressen), le laisser couler dans les cuves de lavages des résidus , et l'agiter avec

cette opération contiendront beaucoup de soufre, il pourra être utile d'ajouter dans le fourneau de la chaux en poudre , pour empêcher la réunion des molécules sulfureuses, circonstance qui rend ensuite la réussite du grillage extrêmement dif-

une quantité suffisante de chloride de fer, qui produirait une séparation complète ; il en serait

fici le.

3'. De la pénétration entière des rninérais pul-

vérisés par le chloride de fer, et par la dissolution concentrée de sel marin. Pour cela, il

de même à l'égard du cuivre amalgamé.

li faut encore faire remarquer que, dans le

conviendra de faire digérer ces substances dans un bassin particulier, pendant vingt-quatre.heu-

procédé proposé, l'addition des pyrites est entièrement supprimée, quoique le grillage des minérais soit conservé. Ces pyrites rendent l'amalgamation plus dispendieuse, et leur emploi serait non seulement inutile, mais même nuisible dans la nouvelle méthode en rendant le grillage plus pénible. Enfin , on doit considérer que le sel marin n'est point décomposé dans l'opération-,

res au moins ; et ensuite on portera le tout

dans les tonneaux d'amalgamation, en y faisant les additions accoutumées. On évitera tout retard dans cette opération, en ayant soin d'avoir toujours en avance une quantité de matières préparées, égale au moins à une charge de la totalité des tonneaux ; mais il conviendra encore bien mieux d'établir des bassins qui puissent contenir beaucoup plus de minerai ; le succès de l'amalgamation en sera plus assuré, parce que la formation du chlorure d'argent par les chlérides métalliques, ainsi que sa dissolution dans l'eau contenant du sel marin (solution concentrée), exigent un temps plus considérable que celui qui sera employé à effectuer la décomposition de ce

,

puisqu'il ne sert que de conducteur électrique, et qu'on en pourra recueillir la plus grande partie lorsque l'amalgamation sera terminée : Or, à Freyberg , la consommation annuelle s'élève à 5 ou 6,000 quintaux, qu'on ne devra pas négliger de retirer des résidus. Le succès du nouveau procédé dépendra principalement :

O. De la pulvérisation parfaite des minérais

chlorure par le fer dans les tonneaux. Il est

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