Annales des Mines (1830, série 2, volume 7)
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TRAITEMENT DU CUIVRE DE CIIESSi^.
et la main-d'oeuvre, et on éviterait la refonte de grenailles de la couche. 2.. En coulant le cuivre en lingots. On le pui-, serait sur la sole avec de grandes cuillers en fer enduites d'une couche d'argile, et on le verserait dans des lingotières dont les dimensions seraient déterminées par les besoins du commerce. Outre
l'enlèvement des gâteaux, on éviterait ainsi la refonte des grenailles des cuves, le découpage des gâteaux et leur empilage dans les tonneaux, le chauffage des bassins de percée, etc. La slip-
pression seule des tonneaux serait une économie considérable chaque année, à cause des nombreux vignobles que possède la con rée.Enfin, en livrant le cuivre au commerce sous la forme de lingots; on serait dispensé de prolonger - l'opération au delà du terme où le cuivre est raffiné autant que possible. Le procédé réclamerait encore beaucoup d'autres améliorations, principalement relatives à la firme des fourneaux ; mais l'avenir incertain de la mine de Chessy ne permet pas d'y songer, du moins quant à présent. On a réuni, dans le tableau suivant, les nom-,
bres proportionnels des consommations et des produits, celui de la rosette étant 1000. Minérai de fusion . Coke
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5983 3067 4,54
Journées de fondeurs.: . Journées d'aides-fondeurs. 4,54 Cuivre noir Houille de Sainte-Foi 717 Charbon de bois 172 Journées de raffineurs. 1,20 Journées d'aides-raffineurs. 1,20 Cuivre-rosette. . . . . . 1000 ka. Paris, r5 inai 1828;
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