Statistique de l'industrie minérale et des appareils à vapeur (1937)
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‘28 BASSH’ÆS I-IOUILLEBS ET LÏGNETLFÈRES. COMBUSTIBLES SOLIDES. 29 Mais cet G. Bibliogrepér'e : —-— amaigrissement en profondeur est peu marqué (voir figure 8). Les importantes variations en profondeur que l’on avait cru remarquer autrefois [loi de Hilt) ont disparu depuis l’on a débrouillé le des failles; et l’on s’est aperçu qu’il s’agissait de variations horizontales. que jeu GËOLOGIQUE DES HOUILLES. FORMATEON Gaine Eanr. Annales des Mines, 1882, p. 99. Mémoire sur la Formation de in écaille C. R. Ac. 56., 1904i. Fatma. Etaca’c's sur le Bassin écumer de Commenäry. Doumné. B. 3. G. F., i905, p. 55”. CrabBaÏEs n’a Lorcoséim. -— numéraux et —e Cireur. B. S. G. F. i056, p. iäë. Toto-533 a PlozsgotteE—Primei. Ré‘à’e des obformotz’ons mécaniçuea. Dormeur. B. S. G. F. 192 8. r —- — Buemeoz. Microgr pr’n’e des écumer {tu l‘écrit du: Pende— Soie-as. sa S. Lactrnco. Note; dioerses sur t’es cool—éoläs, Annales Soc. Géeëogique érige, 1930-1935. Pouvosr. S. G. F. Jubilé 1930, T. Ë, 5&5. Sédimentation et minutieuse. Leasing. des. Sec. Géoïegigue Beîg= 1’ Charters sréioaris canadiens comparés é —- — wesgpéole'eias ' ' Étude du Serein batailler Simuler. B. .S. G. Beige 1934. du. libre? de le Les bouilles Beigz'çae. :ifotzïrieee‘ pour E’étmîe de —- que ces zones montaient Ainsi, la subsidence arrivent à ’ Pour garder un se sans cesse est un relief Àinsi, leflrmeh'on des bassins familiers. sont (sans quoi l’érosion aurait vite efi’acé leur caractère plissement calme et régulier, assez durant lequel ,n_.àë‘_ constant. , houüle}. I faisceau des z ï il oc connues. coaches il n’v de variation sensible de dans un même pas qualité j- En l’on parcourt toute la serre, on constate en moyenne la prédoimnance aux a a Î u Charbons bitumineux dans l’assise supér euro, dite de Bruay; Charbons à celte C .ns l’assise moyenne, dite d’Ànzin; Lba.rbcns ont tracateua dans l’assise intérieure, dite de exergue. 1° -— ou a bassin, la les bassins bouillons Formation du trop épaisse. mur des couches de houille. et contient de nombreux portant niveau du d’une certaine étendue. Bans le boulonnais, on ne connaît par contre que des charbons de catins. L’érosion n’y a respecté qua la bande centrale. cule d’eau devenait est souvent très l’allocbtonie des dépôts végétaux. Résumons d’abord les travaux surtout ’de M. Euparque, relatifs au bassin du Nord, et du Pas-de—Calais. L’ étude des variations des teneurs en M. V. est ’a la base de ces travaux (nous venons de voir la iiaison entre cette teneur et la nature des débris végéta-tut contenus dans la Perpeodz’oeloirmear lignes isoantbracitiques représentent grosse-mode lignes de bande des ciar’ ens cutine correspondant aux points les plus Proi “115.53. (les variations horizontales de teneurs en lié. V. sont très générales dans les scbistiiiés intérieurement, par la destruction rapide des matières peu compactes, alors que les tissus extérieurs se sont carbonisés en vitrain). De même l’enracinement par astigmarias a était tout à fait particulier, et devait être adapté à des sols de végétation meubles et vaseux, imbibés d’eau. Les bas de troncs, que l’on retrouve en place, étaient préservés de l’oxydation par une couche d’eau. Ces forêts devaient disparaître dés que le sol s’assècbait, et, inversement, lorsque la pelli- abrupt). 2. Vasurrou pas ressors sa MATIÈRES vomruss mus LE sassm 1m Nom) se ou PAS—DE—GALAIS. La formation de la bouille a donné lieu à d’innombrables hypothèses, la discussion 1° les sont érosion et sédimentation l’occurence. Pour les petits bassins, il s’agit d’un plissement limité. L’orogénèse ultérieure peu violente. On dit alors que l’on a allaite à. une fosse de subsidence. l’autochtonie l’on suit —— bassin sur même couche. 3. La. sémuarrarior nommera. Les forêts westphaliennes comprenaient des plantes très spé- ciales, dont ie tronc était intérieurement formé de tissus lâches et gorgés d’eau (les troncs fossiles paralique comme le Nord, on peut dire qu’il s’agit d’un géosvnclinal bordé de géanticlinaux; le plissement est ample et régulier durant le bouiller, puis ultérieurement vient le paroxysme orogénique, qui se traduit par des mouvements très violents, avec charriages même en un une les pansements. par fumées dans des bassins de subsidence, l’afiaissement du fond. étant en moyenne compensé par la sédimentation. Cette notion est imposée par la puis- sance des sédiments carbonières qui atteint souvent plusieurs kilomètres, et se chiter en centaines de mètres mêmes dans les plus minuscules bassins du Massif Central, et les récurrences bouil— par lères, chaque niveau correspondant à une même et faible profondeur d’eau. En général, toute la série houillère contient des galets venant des zones bordières; il en résulte —— dans sont 1e Lessive. “l. Sunsmnucs. céarboæs nos ifct'tZGG-îâüéemenä les variations une importantes concile bien repérée stratigrapbiquement par un niveau marin voisin, ou obtient la carte des de la plancile i. teneurs en Ïvl. Bien que les couches n’y soient pas dépliées, on voit que de part et d’autre d’une bande de charbons de routine, s’étendent des bandes de charbons ligneux puis cellulosiques; certaines de ces bandes éliminées en partie par le jeu des tailles et de l’érosion; en particulier, on ne sonnait ce charbons anthraciteux au Sud. Ûn raison de admettre, pas peut par symétrie, ont mais ont été rabotés Sud le bord misté, l’érosion, qu’iis qu’ils par ayant été fortement relevé 2° ,i ï — Ce mur est toujours sans stratification régulière, 50'; de végé— stigmarias. Il est souvent indéniable que l’on a afi'aire à un tation en. place (les ra dicelles rayonnent autour des stigmarias). Parfois les radicelles, brisées, sont séparées des stigmatise : probablement v a—t—il eu un remaniement tout à fait local par les vagues et courants. Plus rarement, ce mur est surmonté d’un véritable tissu de stigmarias horizontaux. Le remaniement pourrait alors être plus important. En tous cas la présence d’un sol de végéta—- fion, en place ou légèrement remanié, est constante au mur des couches. Comme ces murs s’étendent sur tout le bassin, et que la profondeur d’eau nécessair ’à la vie ne admettre lors il faut des épisodes bouillers, le bassin varier, végétale que, pouvait guère était peu profond et que de légères variations du niveau de l’eau faisaient émigrer rapidement les forêts du centre au bord ou oies-imam Formation a’es court-es de étau-tâte. (les couches se distinguent nettement leur mur. Fermées dans leur masse de débris minuscules et très légers, eiles comportent la pins fine et La stratiueation l’on bouille est donc une roche si ’-’mcntaire, connaisse que réguliers {Duparque} et une roche sédimentaire d’oser: crimes. 2° Ë