Annales des Mines (1819, série 1, volume 4)
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i5o 1NALYStS M. Brokowsky a trouvé dans la meïonite 0,460 0,325 0 200 o,005
Alumine Chaux Soude
0,990
et dans le tantalite de Bavière : Oxide de tantale.
.
.
Oxide de fer. Oxide de manganèse Oxide d'étain. . . .
o,75o 0,200 0,040 0,0o5
.
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Dr MINÉRAUX.
it.51
Le cobalt arsenical de Riegelsdorf en Hesse, est composé de Arsenic. Cobalt. . Fer
.
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Soufre.. Cuivre..
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0,7422 ou Arseniurc de cobalt. 0,5170 Arseniure de fer. 0,0917 0,2031 Persulfure de fer. . 0,0155 0,0542 Sulfure de cuivre.. 0,0020 0,0089 0,3638 Arsenic 0,0016 0)9900
0)99°0
On voit par ces résultats que la nature du
0,995
. Analyse du cobalt gris et du cobalt arsenical; par M. Stromeyer (1). ( Annales de Chimie, tome FIII, page 80. )
cobalt gris diffère essentiellement de celle du cobalt arsenical. La différence est moins due à la proportion des élémens, qu'à ce que dans le premier minéral , le cobalt est à l'état de sul-
D'après le résultat de plusieurs analyses, dif-
fure, et dans le second à l'état d'arseniure; néan-
terucl, clans la paroisse de Modum en Norwége, est composé de
cela que le sulfure et l'arseniure sont combinés chacun avec de l'arsenic. Ils contiennent aussi du fer persulfuré; mais il y en a une plus grande quantité dans le cobalt gris que dans le cobalt
férant peu entre elles, le cobalt gris de SkutArsenic Cobalt
Fer Soufre.
0,4547 ou Sulfure de cobalt. o,33 o Persulfure de fer. 0,0525 Arsenic 0,2008
0,4939 0,0705 0,4346
0,9988
0,9988
Le cobalt de Tunaberg a donné absolument les mêmes résultats à M. Stromeyer (2). (s) M. Stromeyer a présenté sur ce sujet deux dissertations à l'Académie de Gottingue, en avril 1817. (2) Le cobalt de Tunaberg contient :
Arsenic.. ColytIt
Soufre Fer
d'après Klaproth. .
o,555 0,44b 0,005 0,000 1;000
d'apro Tassaer, . .
.
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0,490 0,567 o,o65 0,979
moins les deux minéraux se rapprochent en
arsenical, et il est probable que dans ce dernier le
fer sulfuré est combiné, ou avec l'arseniure de fer à l'état de pyrite arsenicale, ou avec le sulfure de cuivre à l'état de pyrite cuivreuse. Dans le cours de ses recherches, M. Stro-
meyer a eu l'occasion de se convaincre de
nouveau que l'on ne peut bien séparer l'arsenic
du fer que par l'acide hydro-sulfurique, et
qu'en employant les sels de plomb il se précipitait toujours de l'arseniate de fer. Il a aussi reconnu que l'ammoniaque caustique ou carbo-
natée ne séparait point exactement le fer du cobalt ; car on retrouvait constamment du cobalt dans le précipité, et du fer dans la dissolution.