Annales des Mines (1819, série 1, volume 4)
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DE LA RICHESSE
férens Minerais, sont réunies dans les planches, 45, 46 et 47. Nous n'entrerons dans aucun détail à cet égard parce que l'auteur en a publié une grande partie dans les rio. 98 et 99 du Journal
des Mines. Aux exemples tirés du Hartz et détaillés dans ce journal, l'auteur a joint, dans son ouvrage, divers autres n tirés de Saxe de Carniole et d'ailleurs. La quatrième partie de cet ouvrage a pour objet les travaux métallurgiques. Elle se compose de douze chapitres, et comprend les planches
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périence, et ils -sont conduits par des directeurs habiles.
Après s'être. livré à ces considérations, l'auleur indigne la distribution d'une usine et les travaux successifs qu'il faut faire subir au minerai à traiter, et aux différens produits métallifères qui en résultent , afin d'en extraire les métaux qu'ils contiennent. Il insiste, sur J4 manière de faire les essais, comme l'un des points principaux de la base d'un bon traitement, puisqu'il indique les proportions suivant lesquelles on doit mélanger les différons minéraux. M. de Yillefosse, suivant la méthode élémen-
48 à 63. Avant d'entrer dans la description de ces travaux, M. de Yillefosse donne une idée de leur état actuel dans le Hartz; il choisit pour exemple l'usine de Frankenscharn comme celle qui offre les résultats les plus importans par la
tails sur leur construction, rien z' étant plus
(100,000 quintaux , année commune). Cette masse énorme de minerai provient de plus de o mines différentes, possédées par autant de compagnies distinctes, qui en-apportent le produit à cette usine pour y être traité. Cet établissement d'une usine centrale est , selon l'auteur, d'une très-grande utiltié, parce que, tt". elle permet d'exploiter une mine, telle
important qu'une bonne dispositiorz de machines soufflantes , et rien n'ayant été 'objet de plus de rer.herehes.Il passe en revue, dans les planches 48, 49, 5o et 51, celles que l'on a employées. On voit qu'au sou fflet en cuir ont succédé par-tout ceux à parois de bois, à l'exception des endroits où les trompes étaient en usage. Ces machines, encore très-imparfaites parce qu'elles nécessitaient des réparations fréquentes,
quantité considérable de minéral qne l'on y traitç
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pauvre qu'elle soit, sans que les exploitans soient obligés de faire des constructions dispendieuses
d'usines, de canaux, de magasins de combustibles, etc. 20. Les différens minerais que l'on y apporte
ayant des gangues différentes, on peut, en combinant leur mélange , faciliter, le traitement métallurgique. 3'. La marche des travaux est réglée par l'ex-,
taire qu'il a adoptée, traite d'abord des ma-
chines soufflantes. Il entre dans de b.Grands dé-
un emplacement considérable et une grande
déperdition de force motrice, ont été remplacées avec avantage : Io. Par les soufflets hydrauliques dans lesquels, l'air renfermé est chassé par la pression ou par le choc de l'eau, et 20. par des pistons -se mouvant dans des caisses par'allélipipé7
digues ou cylindriques, au moyen d'une roue hydraulique -ou d'une machine à vapeur. Ce çIernier moyen est une ressource précieuse dau,s