Annales des Mines (1819, série 1, volume 4)
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,
ST.711 nEs !tours
.tesse de la roue jusqu'à ce que par un alitré Choc contre l'aile verticale, l'équilibre soit établi.
A cette limite, la vitesse de la circonférence et celle du courant différeront d'autant plus l'une de l'autre, que les aubes s'enfonceront davan-
Y1YDRAULIQUtS
donnés par la formule A u (V u'j , relative
ment aux vitesses de la roue égales au tiers, ami deux cinquièmes et à la moitié de celle du cou-
rant, sont respectivement, en nommant p la 4
AV3
tage, ou, en d'autres termes, que la hauteur de l'ouverture de la vanne sera plus grande ;
puissance ,
circonstance qui, augmentant aussi le nombre des aubes plongées à-la-fois dans le courant sera une nouvelle cause d'erreur dans la mesure de sa vitesse. Or, cette hauteur croît à mesuré que, dans le tableau ci-contre, on descend d'une série d'expériences à la suivante; avec elle croît encore la différence entre la vitesse du centre d'impression et celle de la circonférence de la
remplaçant V', par
roue: aussi voit-on que lès plus fortes anomalies affectent les derniers résultats, et que le rapport entre la vitesse de l'eau et celle de la roue aug-
mente de plus en plus; il devient par-là extrêmement probable que le vrai rapport entre les vitesses se serait maintenu entre Io : 33 et 4; c'est-à-dire, que la vitesse du centre d'impression aurait seulement varié entre le tiers et les deux cinquièmes de celle du courant, , ce qui s'accorderait à-la-fois avec la théorie et les expériences de Bossut.
Mais ce qui achève de donner à cette probabilité tout le caractère de la certitude, c'est que le rapport de l'effet expérimental à, la puis-
sance motrice, c'est-à-dire, au produit de là
quantité d'eau dépensée multipliée par la hau-
teur due à la vitesse du fluide qui frappe les aubes, ne varie qu'entre 0,32 et 0,28, et, en général est de 0,30. Or, les rapports analogue
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AV3,
P 2 b,-,h , .27
et AV3; ou , eri 8p
A Vg h
p
,
A V a 7z i2y
A V (2h
quantités dont lés équivalentes sont 0,33, 0,29, et 0,25, puisque AVg étant le poids de la quantité d'eau dépensée, et h. la hauteur qui répond à la vitesse V, AVgb représente là puissance motrice. L'égalité presque parfaite des deux premiers noinbres à ceux de l'expérience, et la grande intériorité du dernier, prouvent complétement , avec ce qui précède, que dans les redierches de Sméaton sur les roues à percussion , la -vitesse du centre d'impression
n'a jamais surpassé les deux cinquièmes de celle du courant. La formule que nous venons de vérifier doit être une limite supérieure, puisque le n'ornent d'impulsion contre une aile inclinée est toujours plus petit que le moment contre la projection de cette aile mie la verticale ; ainsi tous les résultats de nos calculs devraient être au-dessu. des effets trouvés par Sméaton ; cela aurait eu lieu si la vitesse ,V eût été mesurée exactement, et si nous eussions ph connaître celle du centre d'impression. Tous les effets que nous avons comparés étant
des maxima, on doit présumer que pour les l'onze 117. Se.
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