Annales des Mines (1824, série 1, volume 9)
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DE L'AFFINAGE DE LA. FONTE DE FER.
SUR LES SCORIES QUI PROVIENNENT 796 parer avec les scories de forges sous tous les rap.
présomption.,que j'avais émise à cet égard dans elle mon mémoire sur les scories ( pag. 402), et
ports.
Finerie.
Silice. . , Protoxi4s.dgfeirm. AA
,
Chaufferie.
(2)
(1)
t'Agi ai P.2949 0,-015
pU9SpIIOnqUe
0,072
prouve que l'opération par laquelle on transforme la fonte en fine nzetal avant de la pucller ,
Pud Lige.
0,276 0,568 0,61 2 0,610 .
(5)
VO
J'4 9g022,
0,330
,5 5 -Isc*f
.
Fonte à '1'liSsUili.)0,505 '55470 47 Oxigène epcherbiin. o,164 Autres rnatWès 0.4331 .91'M3
(;)
0,4à o 0,124o b,424 0,265
ileiusi lurinin3tint1
- Jeu 1111 an )000 0,993
JJ
797
.»'151 rd) -
-6406
0,556 '1458 i3d 0,154 0,140 0)479 Q),'"496 0,46o 0,290 0,402
0,1t5 0,15
7171.111«.11.1Owsw....,........1.1111
.Çiesscories ressemblent, toutes,,atiesekônies de
forges : elles-sont:, d'un gris; noir plusee n'oins
foncé, souvent métalloïde, tantôt cp4actes , taeefeteristallines'; elles agissetet sur, leibrreati aimanté, et presque toujours ...4s,..sget fortement pour sy attacher lorsqu'elles.S,Ont,c_oneassées en
petits, grains. Pour en faire l'essai:par la_ voie sèche, on les a mélangées avec feeinquième de leterpoids de.carbonate de chaux. -y (ii)ecorieeile finerie, de Dudley en Angleterre. BoursOufflées , noires, un peu métalloïdes, présentant des indices de cristallisation dans.lescavitéK2Lelles:leontiennent une très-grandeLquan.
titéidgCieephosphorique; aussi lalonte-qu'elles donnent.,...Iftssai, est-elle blanche, cristalline-et extrenemerip fragile. L'existence, dei'acide,phosphoriqûe'en proportion aussi: considérabledans
ces scories est remarquable ; ellecianfirmela
fondre, sous le vent des soufflets dans un foyer) (lie mazerie, est de la plus grande
en la faisant
lorsque l'on affine dè mauvaises fonte41.1iSque ette opération*Welà celles-ci une grande,,,partie deS substaitéeScipiliteisernn'à -,, ,;91sp là> qualité oie e.er.11'.S,efstroêm°, It_e! ,an-tiun , parait
donc is,eQtfpmpef lorsqu'il ..a.yanee(,,44ns un mé-
moire qu'A a - eblié sur le traitement au haut-
fourneate.e,,Ories d'affinagedkfiee) que ces eetoiât p h osscor4iliiii4eIree jamais nt phoriqiie,:et qtreicellescqui pro viennent des fontes
qui donneinAlLfct_cesalet sont d'aussi bonne qu al i iniTéle à ni eirrenrs eireTars3I-Orôlne'volt. insister sur.'d&?pelfiet;draejetrece efti'11.restlIpor t en pouf ïlg. litébriel de l'airti'leteriseité
qu'if iretfresSelefeitree_de forge
diUniécremenl.:er&
munédiate. M.-'Séfstroérn S'è .foridatikijefiYêeltlité';' ' fettiti,anon selon lui , l'acidel'acidephosphorique,lit
plus que l'acide sulfurique, existerueontaet, du charbon, pense que lorsqu'on soumet de la fliefte phosphoreuse à l'affinage , une partie du phosphore se concentre dans le fer, tandis quel'autre partie se dégage, eillotalité, à l'état d'acideiihos-
phoreux; et c'est uniquement d'après ç_Cette'idée théorique, et contrairement à ce qui a kéjohservé jusqu'ici dans toutes les usines , qu'il ,*a. formé son opiniôwsurla nature des,scoriesvelais (I) Archives des mines de Kaesten , t. VII, page 274. Nous insérerons un extrait de ce mémoire dans une des prochaines livraisons des Annales.