Annales des Mines (1824, série 1, volume 9)
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MINERAIS. D ETAIN ET DE CUIVRE
DU CORNOUAILLES.
Les rnanéges ne sont employés que pour élever le minerai des niveaux supérieurs; ils sont en général de petite dimension , de la construc-
tion la plus simple, et ne sont même pas
cou-
verts. Ils sont composés d'un seul arbre transversat,4 chaque extrémité duquel on peut atteler deux cluevaux de front. Un homme Suspendu à
l'egtemitéâle l'arbre les fouetteet les fait aller elomou "Lé.puiSemertt, qui est une desitlépenses
les
plucOnsiderableside l'exploitation" tarit à cause delequantité d'eau qu'à cause de la profondeur de la mine s'exécute au moyen de poulpes aspuantes ethioulanteede 2o 'pieds de longueur ; les tigesideàtous,les pistons sonuattachées à une maîtresse-tige suspendue à l'extrémité du balancier(l'une machine à vapeur. '1 .
Machines à vapeur polir l'épuisement.
ii .5i_-a:sur. cette mine trois machines à vapeur
d'unedrès,squide.puissance, destinées à l'épuisement.: celle qu'on appelle maria engine est de la première force et de la construction la plus perfectionnée Le ceindre,a go pouces anglais ;(21}',3oi ) de diamètre intérieur, et la course du piston est de 9,piedsAitfouces anglais (3in,o54); il est simple et entoure d'un revêtement en briques, destiné à prévenir la diffusion de la chaleur. La vapeur est introduite dans la partie supérieure du cylindre, pendant leiCommencement de la descente du piston , une :pression capable de faire équilibre à
une colénne de mercure de 6o pouces anglais 0%64-1M l'introduction-de la vapeur cesse lorsque le piston est descendu d'une certaine quantit4qti on peut augmenter ou diminuer à vo, lonté. Pendant le reste de la descente, le pistou
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n'est pressé que par cette vapeur, qui se débande progressivement. Pendant ce mouvement ; `le dessous du piston communique avec le condenseur. Lorsque le piston remonte, les communications entre le cylindre et le coud enseuret entre le cylindre et les chaudières, sont fermées. Le dessous du pistnn est mis en communication avec le dessus, de manière que le pistonréthiitfïèetWi ment pressé des deux côtés, il ne remonte-dite par la réaction des masses qu'il avaitsoulev.-ée,én descendant : ce 'n'est donc que pendiffitrla (let cente du piston qu'il y a de la fôrc&vivexle464:-. el 3ï,, loppée par la vapeur. La commmunication entreles chaudières-430-e partie supérieure du cylindre 7-.ehtreAe_dess,04 et le dessous du piston, et entre 4 partieinfériettréi du cylindre et le condenseur; est établientils pendue au moyen de trois soupapes. Leur:401ivement est réglés comme dans -la plupart-des-machines, par une bièle , mue -par le .balancier laquelle sont attachés des mentonn-ets;-cieeho=
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quent des leviers coudés : celui de ceterentonnets qui ferme la soupape d'introdudtion de Moyen la vapeur peut être élevé et abaissé d'une vis de rappel. Par ce procédé Simple.stlon
rend plus ou moins long le temps pendant lequel:la communication entre les chaudières etle:-cleS-4,4
sus du piston est ouverte, et par suite'niienttl, plus ou moins considérable la quantité devaei peur introduite. Le jour de notre visitewla va-0:e peur n'était introduite que pendant teirviron sixième partie de la course du pistoii(i 8(p'cinticres anglais).
Lorsque le piston atteint l'extrémité inférieure de sa course, le balancier s'appuie sur un ressort