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ner d'une manière Certaine l'énergie effeetive d'une pouzzolane. On trouve à la fin de ce chapitre l'indication succincte d'un procédé trouvé par M. Vicat pour transformer l'argile en pouzzolane excellente, par la simple cuisson sur une tôle rouge. Le. chapitre 7 traite de l'influence des trois procéd;és. d'eitinotion, soit sur les mortiers ordinaires,

soi4ur les Mortiers hydrauliques. M. Raucourt coulpe M. Vicat, que ce n'est IiitW;:raujour. qumfil'extinction spontanée est f-reConnue

çgonnef donnant souvent de meilleurs imortiers quelos:deux autres modes d'extinctionrinais j'ai indiqtW, dans une note du devis instrucepour le sery0e du génie, que cette méthode étaitenriployée,

depuis un temps immémorial, en Espagne et dans

une partie de l'Italie : je l'ai employée constamment à Flessingue, où j'ai fait exécuter de grands travaux demaçonnerie de 1809 à i8x3, et rai trot-ive cette même méthode recommandée dans une lettre écrite, ent764, par M. de Fiennes, officier du génie, alors employé à Gravelines. Je pourrais citer d'autres faits ; mais -je pense que ce que je viens

de dire suffira pour montrer que l'extinction spontanée n'était pas généralement méconnue

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tiers. M. Raucourt a fait varier les proportions de chaux commune grasse pour chacun des trois procédés d'extinction , et les observations ont été faites sur des mortiers enfouis , sur des -ma tiers exposés à l'air, mais abrités, et sur des mortiers exposés aux intempéries de l'air. Il em a déduit les meilleures proportions à employer dans ces différentes circonstances ; mais les résultats

trouvés ne sont pas susceptibles (l'une applica lion générale., et prouvent seulement ce qu'avait déjà annoncé M. Vice , que les proportions de chaux et de sable doivent varier dans les mortiers ; avec le procédé (l'extinction, et d'après .le lieu de l'exposition , et de plus qu'elles doivent être déterminées pour chaque espèce de chaux

ce que M. Raucourt ne dit pas, quoique ses

propres expériences en soient une nouvelle

preuve. (, Ces expériences, :dit M. Raucourt, sont

d'accord- avec la théorie , qui veut que l'on » mette plus de chaux lorsque les localités obli gent cette chaux à agir comme corps terreux, » et qu'on en mette moins, à mesure que les localités aident à son affinité sûr le sable.- »

me semble que la théorie ne dit rien de tout cela : M. Vicat s'était borné, avec raison, à assi-

et dépréciée. Le chapitre 8 fait connaître des expériencesde l'auteur (i) pour déterminer l'influence des proportions de la chaux sur la résistance des mor-

miler l'action des chaux grasses sur le sable à celle des gangues terreuses ou autres sur les corps qu'elles enveloppent, parce que, dans les

(s) eavais d'abord cru cine Ce chapitre était entièrement

court , dont cet ingénieur ne donne pas les dé-

extrait du chapitre 6 de M. Vicat : l'ordre et le nombre dés .expériences sont les mêmes. , ainsi que lei Conclusions générales 1; :mais les proportions donnant le maximum de résistance aux mortiers sont différentes.

deux cas, les degrés de résistance varient suivant la même loi. Du reste, les expériences de M. Rau-

tails, confirment les préceptes qu'il cite d'après M. Vicat, pour modifier les peportions de sable dans les mortiers ordinaires, selon qu'ils seront employés dans des endroits secs, ou qu'ils seront .59 Tome lx, 6'. lier.