Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)
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SÉPARA.TION DU CUIVRE
DE L'ARGENT.',,,.,
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de§lw chaudière, en passant par le canal, dont L N-0 sontles différentes coupes, et en suivant la ratitearacée par la flèche, et elle s'élève enfin par Olidans la cheminée h. La fig. Se. représente la chaudière munie de son couvercle; ce couvercle estdivisé ertideux,parties KS, qu'on peut enlevevati moyeraiides boutons t tt t.,Dans le trou a passe une tige?attachée à un flotteur, qui sert à indiquer la hauteur du liquide dans la chaudière; brieed sont efférentes ouvertufea, par lesquelles ci4gsterete l'acide; e (fim)et 3)- estfun,robinet par lequelrdn peut faire écouler la liqueur cuivreuse : rineeçoit-icette-liqueurdaus une cuve U doublée
que, pour un abaissement 'de§ro9pReliap,dissd1e4 tion de sulfatedeÉeuivre gagne3i.già 1Wréornitre. On recoupait queletiqueiuurierdontieut§ipa'sallarq. gent, au Proyerieche,Sel,Mariviiigniimitisoirtlffl tendre aven de Ikailithaude,b 1DEIDI 9.,sibuee-
en pl ondnion --ehatiffe avec' de la -houille.,
oy a i t géikrallenleUt fflittfilasfirésencenutelerezstains-wcixidesir etalpiildedeinxivre§fpnfisbdent9tte propriété, au lpIns %male& gràh Da' DI; lese prepeids
atiQuaild?lenriétabgrillét a-été placé dans la chaudiuère,09relt ,"intrôduit d'abordide l'eau qui pro.Vient_dthlir:ageides3Opérationsrprécédentes, dans pàioportionèkdb 15 onces par marc, et ensuite kliefachlesulforique du commerce, dans la propor-
tion de 5 onces par marc : on y ajoute de l'eaumèreidu sulfate de cuivre, qui est fort acide, et qu'on désigne sous le nom d'acide sulfurique vieux. Si l'on traitait l'alliage provenant de l'amalgameAeseDpatouil lets , seul, il faudrait employerlisori propre poids d'acide sulfurique. On alékaverseripa,s l'acide directement Sur l'argent, mais§tlansaiihrme de plomb placé au fond de la
ehaudièrel,weid'oi1 il se répand ensuite dans Lq03'1ichauffe à environ 6o° pendant 12 à 15 heu-
re; puis ollffaitceouler la liqueur par le robinet lorsque sa deneté: -n'augmente plus et lorsqu'on eestgasmtralqii'elle ne tient plus d'argent en dissoluticinotOu'iprends, la densité de la liqueur au moyewdeEarépmàtrë de Beaumé, en ayant égard à la température ;- on a trouvé, par expérience,
On ponrra),être ;Seilit§ris§telelveiefdeil'ârgerlit: se
dissoudreedditS.deliaedeimilfistilguttuesi étendu que celui qii.itiii/eiliploié,3ètilersqtre,Ahilempérat t tire ne ,s?,:est ipaà'àêlevée,atedessusule£.6egininii ce n'estqlas.ianveléperredel'aridekîidferiaitiequë
l'argenes'estIttedé: le.e.s4pendalki3k1 M. `B e ri hie r famprid e ess?ne irk let Fef. tient ,rokigèneo avec 21pittedeifeiCenteeD12tler,b
momens de. l'attipmilehdrdesiilfeitrieFgutuBitlliage griU,ulhergern exidê, se tfissottg4ograil est bientôt iprîéçipitepal til &ail: 'que reste clansina14age;§Ï,) ; ausin ak:q ,:mro a sh noie Quand.,-ori à laitp.étenufee 1 ditekluticfm,eiri.4vreuse,on la reifiplaieet par ded',eanyp,q11,ê l'on14t bouillir§ pi-n cla ntrIquelithes heures ; '2.&larreem-
place celle-cipaïrà $ipiede(otgesatfeatritipkte, qui achève le lavage,;on laisse-tqutee
en repos pendant quelque teinp4,liourafeelles déposent les paelieulesoleargerequinsontlteinies
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On grille -ndeseptinileffeierl%liliaetternité0par l tcide sulfurique,- gm le ehàaffarkluevorre prn-
2e.
grillage.
dant simicieureScà sheleureileti)' &mita. fig 9upalof
On traiteYpar*Pcidesolfurrieflûidlalliagefigellé 2e. traitedeux fois, en employant 9.ohtlegi§l'aederthitedru- ment par merce et 8 once.s'creenTparfrnarevW.edriflaisstndi- J'acide gérer pendant4seize ù dix-neuf heures'erru9i2R1