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TERRAI NS ANCIENS.. /14

PLATEAU CENTRAL DE LA FRANCE.

avec des grauwackes et des roches feldspathiques présentant des empreintes végétales. 11 est donc assez probable que la chaîne qui sépare le bassin de la Saône de celui de la Loire est de même époque.

Immédiatement au-dessus de ce groupe de roches granitoïdes existe un terrain de transition bien évident, sur lequel nous allons donner quelques détails. Ils seraient peut-être mieuxplacés au paragraphe relatif aux terrains de tran-

sition; mais nous préférons les intercaler ici Terrai/Ide umnsitionde Tarare.

pour compléter la coupe que nous décrivons. 5. En descendant vers Tarare, des couches

d'un schiste argileux vert succèdent aux porphyres sur lesquels elles reposent immédiatement. Ce schiste plonge, vers le Sud-Est, sous

somptions. Ces couches de poudingues sont assez épaisses ; elles sont composées de galets assez gros et rarement plus petits qu'un pois : la pâte qui les réunit est un schiste analogue à celui avec lequel ils alternent, seulement il est plus foncé et moins solide. 11 s'ensuit que ce poudingue est schisteux en grand, qu'il sedécompose facilement, et que la surface du terrain qui

en est composé est recouverte de galets qui en cachent la nature. Les galets qui entrent dans la composition de ce poudingue sont de quarz laiteux blanc -de quarz lydien, de feldspath compacte, de por-

un angle de 25 à 5o degrés; il contient fréquemment des noyaux de quarz. Les feuillets se contournent ordinairement autour de ces noyaux, qui, lorsqu'ils sont abondans , donnent à la roche une structure contournée en petit.Ces schistes sont traversés par de nombreuses fissures , dont la

phyres, de granite et de schiste argileux verdâtre fort analogue an schiste avec lequel les

des cassures pseudo - régulières : ils sont péné-

du terrain qui le renferme, les galets quarzeux

communiquent parla décomposition une couleur ocreuse plus ou moins foncée ; ils contiennent aussi quelques cristaux de feldspath. Ces schistes ressemblent d'une manière frappante à ceux que l'on désigne, dans le Cornouailles, sous le nom de killas, et ils appartiennent probablement au même étage des terrains de transition ; au milieu

nombreux dans le schiste. Cette supposition' et cependant difficile à concevoir, les roches schisteuses étant plus abondantes an-dessus des poudingues qu'au-dessous. Ces couches de poudingues ne forment qu'une

disposition en losange produit fréquemment

trés d'une grande quantité de pyrites, qui leur

de ces schistes -existent plusieurs couches de Poudingues poudingues, alternant soit avec des schistes anadans

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grauwackes schisteuses ; mais comme on ne voit pas de passages des poudingues à ces espèces de grauwackes, on ne peut avoir alors que des pré-

logues à ceux que je viens de décrire, soit avec

1e5chiste. des schistes paillettes, et que je présume être des

poudingues alternent. Cette dernière roche et le quarz forment la plus grande partie des galets;

cependant, je n'ai pas vu de schistes dans le groupe de la montagne de Tarare: de sorte qu'il

semblerait que ce poudingue est formé aux dépens

étant fort analogues au quarz qui existe en noyaux

petite épaisseur relativement au terrain schisteux; elles ne présentent pas plus de 100 à 200 mètres

de puissance. Ce peu (l'épaisseur, et la manière dont ce poudingue se décompose , sont sans doute les causes qui les ont fait échapper jus-