Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)
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PLATEAU CENTRAL DE LA FRANCE. 58 .sance'," qui est exploitée comme marbre. Aux en-
virons de Najac, dans le département de l'Aveyron, on observe une formation de serpentine et de calcaire qui occupe presque tout l'espace com, pris entre-Najac et Notre-Dame-de-Laval; elle est rarernent-,-pure ; tous les échantillons sont mélangés de mica et,de quarz bleuâtre : cette serpentine.4. associé è avec la pierre ollaire , est encaisséedens le gneiss.
Partie s dépôts, un,assez grand nombre paraissent-etTesur ,ame Même ligue, et M. Cordier ruzak (kisi ?lieues tnetteiïbWi.tolit devoir les
rapportetOuszàele*tême poâtiphe,,t puissante, igraterl griolt al des montagnes primitives de l'intérieiir..:dek France. Nous n'adoptons pas entièrement 'cette opinion,.ayant
régwud.
virdeaernastkase. rpentine3neetnedele Coquille et
dtplaneeeibentbear exemple;.quinous paraissentine ipeft,êtreollens ja -même ligne que les autres, et qttif pluss- sont circonscrits dans tous les sene,4.il estdonc plus naturel de les regarder oomme-,des .anias,,- parallèles aux couches de la
forrnation4le gneiss, et probablement contemporains au4trrain. Je faimyWarquer cette circonstance: plusieurs gédioguWQréstitment que les serpentines sont duestfantftternes causes que les, porphyres grès4,ouge. *1 me parait en effet,probable qu'il existe des serpentines produites dans des circons-tancesfeindogues à ces porphyres ; mais il ntepa9;f4t4e4iktisable aussi, d'admettre qu'il en etisredansoleerrains anciens, sur l'origine desquolebninktetPasHala ,vériteen tièremen t d'accord.
5q.
TERRAINS ANCIENS.
roches de gneiss et d'amphibolites. Les veines, généralement peu puissantes, ont peu d'étendue en largeur, mais elles sont très-nombreuses: quelquefois, après avoir suivi la roche, elles la coupent tout-à-coup et prennent eapparence de filons; d'autres fois, elles augnientent considérablement de puissance et forment de grands amas. Les petits filons, très-aboridefig sont toujours adhérens à la roche. LeetedittgiStmt cail-
louteux ou argileux; ils pesieneletaegmatite
d'une manière inîsensible7 eelqiiitefSitve sont le produit: de déConieditietk Les beaux kaolins se trouvent dans les lteiietffleStrOthes sont les plusr-décOmpoSées --e`édii ls rfil Wall° n s
sont les plus abondantes. 5 sa.. Le calcaire saccharoïde fcititefeegsi des couches subordonnées dans le gneige-Pnous en avons vu dans plusieurs endrOiWi >notai-riment 'à
Calcaire dans le gneiss,
Chavignac près Mauriac (Gante), où il est exploité. Le calcaire y est saccharoïde blanc, passant au bleuâtre, comme la variété connue sous le nom de bleu turquin. Ces couches calcaires se prolongent suivant le cours de la Dordogne ; les retrouve à Archers , Roche-lésPeyronx, etc. A Sussac, près Eymoutiers (Creuse),'lifeetfti4 nous
venons de,citer ; à FontblaffeWrprésit'deve (Hérault ); dans les montagnes de SaintePonS , qui font partie de la montagne Noire, onnobserve le même phénomène. § 13AI existe en outre; dans cedelnitegefijr»pé, .
des couches de quarz compacte »bkietre-4 'Ce quarz devient souvent schisteux parlun inélenge
Amas de
.!Les.pegniaiaqueS,et les kaolins de SaitiViriex
de mica, et passe ainsi au gneiss. 'Plies dela Braquerone, entre Milhau et Rodez, OÉVVOit une pe-
kaolin.
forment des veines et de petits filons dans les
tite couche de quarz hyalin composée de très-
Couches subordonnées de gnarz.