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Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)

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EXTRAITS DE lounriAlux.

il 70

Lion de l'ammoniaque, il se forme des cristaux jaunâtres peu solubles, indécomposables par l'acide sulfurique, les alcalis et la baryte. Pour les analyser, je les ai traités par l'acide hydrochlorique et le sulfure de barium. J'y ai trouvé : Peroxide de mercure.. 0,7522 2 at. 0,058o-1 at. Ammoniaque.

0,1812-0 Le sel que l'on obtient en précipitant le perAcide nitrique

chlorure de mercure par l'ammoniaque, ou par un mélange de sel ammoniac et d'un alcali fixe caustique ou carbonaté, donne à l'analyse : Peroxide de mercure... 0,824 t 2 at. Ammoniaque. Acide muria.tique....

0,07101 . 0,107o-

at.

_Note sur les SELS AMMO1VIACAUX-1ERCURIELS;

par Nt E. Soubeiran. (An. de Ch., t. 36, p. 220.)

M. Mitscherlich vient de publier sur les sels ammoniacaux-mercuriels des analyses dont les résultats ne s'accordent pas avec ceux que j'ai obtenus. ( Voy. An. des Mines, t. ler., page 168.) J'ai répété mes expériences, et je me suis assuré de l'exactitude de mes premières analyses. Je m'accorde avec M. Mitscherlich seulement en ce. point, que, dans les. rnytTates et dans les muriates,

l'acide et l'ammoniaque se trouvent précisément en proportions convenables pour former du nitrate et du .muriate d'ammoniaque. Pour déterminer la proportion du mercure, je me suis servi, comme M. Mitscherlich, du protochlorine d'étain. 7,e prends un petit matras à essais d'or, dont je rorrips le Col très-près de la panse; j'y pèse un gramme de sel mercuriel, et je le fais dissoudre dans 4o à 5o grammes d'acide bydrochlorique

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pur et concentré; j'ajoute un excès de chlorure (l'étain cristallisé, et je pousse à l'ébullition pour

réduire le mercure et dissoudre entièrement

foxide d'étain. Au bout de quelques minutes, la

presque totalité du mercure est précipitée en

globules ; une petite quantité seulement reste en

suspension dans la liqueur. J'étends l'acide de son volume d'eau, pour ne pas être incommodé par les vapeurs ; je décante, je lave, etc. , et je retrouve tout le mercure à l'état métallique. Je suis disposé à croire que l'erreur de M. Mitscherlich vient de ce qu'il a employé de l'acide hydrochlorique faible, qui dissout mal l'oxide d'étain. M. Mitscherlich considère comme un sel distinct le précipité gris qui se forme quand on verse de l'ammoniaque dans une dissolution de protonitrate de mercure ; mais j'ai prouvé que ce précipité est un mélange variable de sous-nitrate de mercure simple et de protonitrate ammoniacal :

ce dernier sel, que l'on peut séparer du

premier, est analogue, par sa composition, au deutonitrate ammoniacal.

Action de holm sur le

PROTOCHLORURE DE

MERCURE; par MM. Planche et Soubeiran. ( J. de Pharm., 1826, p. 65i.)

Lorsqu'on triture de l'iode et du protochlorure de mercure avec de l'eau, il y a décomposition, et il se produit du deutochlorure et de l'iodure de mercure. ACÉTATES DE MERCURE; par M. Garot. (J. de Pharm., 1826, p. 452. ) L'acétate de protoxide de mercure, obtenu par

Recherches sur les