Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)

3.28

PLATEAU CENTRAL DE LA FRANCE.

logues.

(i) La ville d'Édimbourg est couronnée par quatre collines isolées , qui se détachent sur Phorizon en forme de cônes : elles sont composées de grès et de roches porphy-

riques. Le grès appartient au teri:ainkquiller, qui est exploité à une petite distance de C;qté." Ville. Le porphyre feldspathique est quelqüefoià 1!)5r"riaelqflei';' il contient des cristawFr0-abondans alelfeldspatli:41ôffy voit aussi fré-

ygd1 gdo* lelowneej enfgetikral calcaires,

ee'porphyre passe à clliVidnifetfetiefflciApyrfnç.enist des a

sge éqoff-idkatetcommei

'

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TERRAINS SECONDAIRES.

te (I), quoiqu'ils soient connus de tous les géo-

e.

a sin 'ê ottliâ (1111db, fily-Ura°, p.i.; ' 'ejfepie d s'étend juSq,,,--ifeetheilteerinflitShitil tlgtdekeellr'asrlilkt du grès et d nerrIpp fp tés «man Mi em sit/aie geffilfèr'df31'`-Souven t, la s'ffbceifte,g ftl9f-e. rbUràguliede,;,es 2 sialkinn ée d'élévations,

5o. Le terrain houiller des environs de RO- Terrain dez forme une bande très-alongée sur la rive houiller deî gauche de l'Aveyron. Il commence à une très- environs de petite distance de la ville et se prolonge jusqu'à Saint-Geniez. Les principales mines exploitées dans ce bassin longitudinal sont celles de Sen, sac, de Gages, de Ber-tholène , de Leigac, PUj amel, Drouill&preis Saint-Geniez,ercerDans toutes!

ces mines, le, terrainEhouiller, , donel'épaissene, est peu coniclOràb1Tepose inntiéeetinètir ateP le terrain andentlituréebttrag'iek`ltegeqs1 recouvert preSqyl ofticrl,ede941en2"

gsit's7,4:IptiM.3 erles

couches inféri,4êkqpntànalogneefign grèsitougeiç et les copçhes,gefiennes2sçàaftportetitcanctgrègà

bigarré ,i,fortnatinnsztieliestradiegté&eitee

wreerime9p0e,49.,iporphyre.,q4i43'gutresfoislele grès poussé dei rainifiations dans le ter.rregsprieur Enfin,

impossible dencliPtingtiàlriidsie,(daTcraiMilT-P ,o ezziwq:

seedë 4M:té-tue& v4g9 Pzifitieegt '%dtlel tlae' les unes,

A Sensac, n:exIstie.infnIr joules.,:,wprengerepz

dans quelques cas rares, à la vérité', Vus avpns vu qes masdisee si fasj &ni dei st.ktiik ïe(1.1in,§11-agffib'atIdli L,PéàrFtlis que

les.-autreSéta.:..int--pleeées--de---manièreà-doriirer l'idée

onésifère reeet'épk:.',

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ouverte depuisilogeemps,..iestreiplditéépaeune iF C:G1'

d' u nj fit ginènxt al' 'tub eiefie.11,?tiez giiè 1 eà phite danS1 le po rphyrle .e.saearrz sol eup F,FIC,g1: , `....fli',I, on

pre-b ettre phyre ne soient de même origine que les masses. MI.,clisi

ieSieniigileighOad'Uttfeedélitiile'S tir'IMWR-bile nième tetratliniqiiidoeint tâgeWetiVe'à ei,F6fev, rôn9é£ tonné

docteur Macculloch, qui a fait un ouvrage teshtéresiiint

(kola i riég ulaIl té. del 11.i5u (sfrati fi ca tion . ,

imitrienkbe Copition. , lien différente

r é già lecidi ferait

if sur roàl'ifelu por-

phyreyskilqntulavttik.tas4)une petite' dfsitair ireTt16

p re u -

lessilrredgudirrebusueeedebbfileversenielifq4e an intro-

sur PEcosie, suppose.ique ces porphyres nnt-itécintrodultst

postérieurement dans le terrain houillei.Alsie,opinionb semblable a 'été émise par M. le professetirSedgewickcit pour ,expliquer la formation des roches trappéenneelylk existent dans les calcaires de transition ,du Cumberlandt

sur la côte de New-Haven, nous avons vu une alternative réelièqe,,,clecjitin'ehiuclies de grèeeherPôrpliYre. Les

et du Derbyshire , et qui y produisent,àgnieinent de&isenble malles. , L Je serais entraîné tr9ploin si je voulais"iivneL'Ppè; vantage ici les idées de;ce's deux saveins,,géelogues anglaise.

inteignentuuteptieiknee beaucoup plq&iiisidérable.

Je crains que, le précis que je vieripseOnldonneruisdit

cluotienbwnpaodlniealtgYàkiecti du terrain IfornilTerPi.

ainsi,

coittihes, songeneieffircèdent pas 2 piede94tie1quefois elles

En. ,cofnparkilft3desiphénomènes avec 'edlik" de Figeac, on

trouvé trop incomplet, et en généralcipue cetteinate neydUit trop courte, et, par,sui»,. difficile à Comprendre pour caiix

anclavé,denslâ'terifaiii, houiller, qu'il est de même nature, etqu'ilcse-ittelreeIhia",iela même disP6fleon , en couches etlfenanasaerintecttlÉe-S.'ll est iinpossible de ne pas ad-

qui n'ont pas visité PÈcosse. Cependspt,,Jitimia paru Indispensable de signaler cette analogkeu,errain porphyrique des environs de Figeac avec celui quiantoure la ville d'Edimbourg

.maitiqueohdanellqw'et claiià l'autre-lie:1,11.e porphyre est