Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)
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'SUR ÉF,S TEÉ11 A MS , etc.
Lô, par un 'puits de recherches creusé dans les années 754, 1755 et 1756. Au Plessis, ses couches se relèvent contre le terrain intermédiaire, mais sans replonger ensuite, comme elles le font à Littry-,.7à l'autre extrémité du terrain houiller. Ou se dispose en ce moment à remettre en activité la mine de houille découverte, en 175o, dans la *première dë 'Ces -communes.
'9MCCA.b 91 ertet,
EXPÉRIENCES
Sur la résistance que l'air éprouve dans
des tuyaux de conduite, faites aux mines de Bancié en 1825
Par M.
Ingénieur en chef au Corps royal des Mines. D'AUBTJISSON'
i. ON avait entrepris, en 182o, aux célèbres occ-asionaes mines de fer de Rancie , dans le département de espériences. l'Ariége , une grande galerie d'écoulement, la galerie Becque), , dont la longueur devait être de 72 mètres, et qui aurait été mise, à son -extrémité, en communication avec les anciens tràvaux d'exploitation par un percement en montant, ou puits , de 36 mètres de long. Avant même 'que l'on fût parvenu au milieu
de-la galerie , on se plaignit du manque d'air respirable ; les lumières des mineurs ne brûlaient que très-difficilement , et les ingénieurs
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qui dirigeaient les travaux réclamaient l'établissement d'un ventilateur. J'avais vu des galeries 600 mètres de long faites avec peine à la vérité, mais sans aucun moyen d'airage artificiel en conséquence, et pour le moment, je me bornai à faire redresser l'entrée de la galerie, présentait un petit coude gênant la circulation de l'air. Je m'en serais tenu à cela, si, au bout de la galerie, il n'eût fallu percer et le puits dont j'ai fait mention et deux branches de galerie sur la couche métallifère vers laquelle on se dirigeait
- ces percemens exigeaient nécessairement l'établissement d'un ventilateur; en con-