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Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)

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SUR LA_ RÉSISTANCE DE L'AIR

DANS DES TUYAUX DE CONDUITE.

molécules. Or, à longueur de conduite et densité de fluide égales, le nombre de molécules est proportionnel à l'aire de la section transversale dela conduite ou au carré de son diamètre ; sa résistance sera donc aussi en raison inverse du carré du diamètre de la conduite; et comme elle était

les grandes vitesses, son effet était sensible clans les petites , celles de quelques centimètres par seconde, et qu'il devenait mêrrie prépondérant dans les très-lpetileee: Coulomb pensa etübutre que ce ferme'eé6-,ktiait de l'adhérence tleinelé,1

déjà en raison directe de ce diamètre (n.9)

Ces considératiOns 'm'ont -paàâ eièî'tfilenice qui concerne le in.verrient dë01IMEPrielans-le tuyaux de conduitë;,,kfileê'liërieYeinVâif".&1%, négligé sans erreur: les vitesses y sont généfaA ment très .gra n d es ;: dàn'S no gles ont été de 6, 8, fev et inéine 430ciliétrëkeit9Fliff; rarement sont-elleilde§iiideien't-9*)gtpinètVég par seconde. Dans n&etigliiiaritellatilitititiê0,4

408

poils conclurons qu'en définitive elle est réci-

proquement proportionnelle au diamètre de la con-

Considéra- Ai. Pie dépendfflncore de la vitesse avec lalion sttr la il, ira vite et plus il y vitesse.

lèlaiffne,teifplits rcefIl einai,de!,..mcg-écujes à détaqber des parois et à les

tpflq)teeUt ainsi, la résistance

pgr4pn4 j4)neki,on dei; (la vitesse; mais quelle

ihnet9e,

1:19 frf

,,,..pliqvitonparuite des expériences qu'il avait 4,4fis,§1,404 réistance que l'air fait éprouver à vin pephlinjayait admis une expression compoeeode,trAis termes : dans l'un , la vitesse était à , la,enssance dans l'autre, à la puissance .

et,43-4eidey{nier à la puissance 2 ; puis, Newton DeinkTilfy,§j4ine'les deux termes extrêmes. Dès

peeàiyinrent après, admirent de plus un t unespeant : mais, généralement, on regar,,

11,11>#eliqt,18nce comme proportionnelle au car-

q{,44,vmesse.,4 dernier lieu, Coulomb a repe4,11a1ffleeign4,e krésistance des fluides, et Pieekii*m§Pilbtâtrikesmççtte justesse d'esprit qk fo% 4,511i49gi.eixpériepentale qui l'ont placé physiciens, il montra a4tmeçfflissfrgeparrr4_

wiLdansiexpressiodilela. résistance des fluides -

ordiPaims),(Te&u,klakuile,baapremière puissance deola)ivitesse deviiits \arei4ntrodui te, et que si le terme qui la reer'Oeittevait être négligé dans -

8£8;

cules fluides eiittregelles (1).

-j>,

409

91M111£ib.

vitesse de sortie est dé 80 aibO'hiêt'-.1,(istt mué aie

la conduite, le phis ordinairement, délearifil, ru êtres. Rutton, dati(4,§êWhiennbretiffl e_Yeilteiffces

sur le mouvement deetfrolêétile0 tébaYë,1961iii les vitesses de 3 à.1:0-irülètires Ierês1.Ytiàilai kté l'air simplement rittibcirtiOnnelle'au -vitesse, bien que, pOtir)dephib,grandefflt'esses; il ait cru devoir reprendre lesuttik6fsi-teîreedë Newton, et mêmç un terme)]. etinItellf1(4'1%11,

jouterai encore qiiéM.- Giritiek itiferraf9et auteurs qui ait appLèteë les'printreëbudb9elli41 lomb au mou vernent)déS4htidêsiilébh4,Wsrstieffig clans les conduiteg;jalyeitièe'àfteaiPeAé'ecëlne

mouvement pourilgefielëk gîtiéttepwalb.4ef6ïil. y abandonner fofti-MPliïnfilTéltêtfild'it4)1flélekilt la première puissfrrie'ael.)'ffireite41:41. suite des expérience edinli âffltaaré§lit(bgéiîèfI(31,' f501? P91 731 rii19up

(i) IVIénzoires de l'instituipiilbig,leldéeLeireel,Wefable Nouvelles expériefices:surilWailsledeà ,2e,zeig.tiesittà1.;

duction de M. Turqkephip j itne Annales de Chi/nie et de Physique, t. 16.' 7'. Hi', 5e. iiVr. t 828. 27