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Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)

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Afin de montrer l'influence du facteur barométrique et thermométrique e, sur le plus ou moins de régularité des séries qui présentent les coefficiens conclus, nous avons mis en regard la série des. valeurs de n et celle des valeurs de n e; en indiquant la différence de chacun des termes.aveç.le terme moyen de la série, ce terme

moyen était représenté par i. On se rappellera que n

(b

h' y

( H- h ) D5

(1) + h )1'

h L d4

,

et n_

h L (Fe

.51":=1:12Wl.

VALEURS DE

LONGUEUR

de

a conduite. mèt. 100 120 14o 160

200 220 239 259 280

ne

il JMIL

0)0194 0,0185 0,0161 0,0163

-1- 0, 9,5 o, 19

0,0i51 0,0159 0,0146 0,0137 0,0157

o, o3

0,03 o,o5

0,02 0,07

o, 0285 0,.0272 o, 0236 0, 0241

0,19 0,04 o o6

0,0221

o, o3

0,0234 0,0214

o 0)

c,0148 0,0149

0, 12 0, 0201 0, 00 _0, 0229 o, 05 0,0217 0, 10 0,0205 0, 10 0,0205 o, o5 0,0215 o, o5 0,0216

Moyenne.. 0, 0156

0, 0228

3oo 322 344 367 387

010149

0,0141 0,0141

0,06 6,bo 0,05 -0,10

010

0,05 o,o6

On voit, par ce tableau, que les différences entre les diverses valeurs de n et de n j2 sont de même ordre , et par conséquent que l'in troduc-

1

4.5I

DANS DES TUYAUX DE CONDUITE.

SUR LA RÉSISTANCE DE L'AIR

tion des élémens variables de-'la densisté-b44 h', b -±h et T n'a pas apporté 'ùfie,régularité'plus sensible dans la série des éoeffi.ciens aitisti`Yla

déterdination:de ii, qii0) DOIIS avons'

dard

daiis faite indirectement, va si on Peritiditièrecalcul, est aussi exacte '4ti ment faite d'une manière direète. La valeur moyenne de te(o,eri 56) estlien aussi celle quirésulte de l'ensemble denos observations; mais les raisons que nous avons exposées plus haut, et qui nous ont portés à préférer la moyenne 0,0238 à la moyenne, générale o,o232, nous porteront encore à prendre l'analogue au premier de ces deux nombres, c'est-à-dire o,o16o.6. Ce coefficient conclu des expériences faites sur une conduite en fer-blanc rne parait devoir convenir également à une conduite de toute autre matière. L'expérience a montré que les circonstances du mouvement de l'eau sont sensiblement les mêmes dans des-tuyaux- de plomb, de fonte, de poterie, de.hOis.,,;.em.,( Dubuat , Principes d'hydraulique): pourquoi en serait-il autrement pour le mouvement de l'air? Dans tous les cag.VCIe-SIM,blécules du flnide ,que l'on considere Se logenieiit "èt se fix-eifdieni entre Is b.Spé

rités des paroi de'làf condtiité; elles. y

forme-L

raient .coniine tine'COuChè ou revêternent infiniment Mince) 'et c'eSt sur ce revêteitterit`qUatitterait et glis erait la Masse génefale.

.40- Ainsi, l'équation donnant la valeur 4-.1e la résistance sera; Ld4 h (b 4-h)T H - h o,o 606 D5 ( b h y' Habituellement, dans nos machines soufflait-

Expression définitive de la résistance.