Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)
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5oo Soient
A VAPEUR. On fera nt =-_ 3 , si la pression
MACHINES
d = 83, et n -= 4 atm.,
on aura
triple ; si cette pression doit être quintuple , alors on fera
= 5.
18 X 83 (
e
3000
)
Supposé une chaudière en fonte : dans ce cas, m
1000
1494 (3 f) + 3000
5229 + 3000
1000
= 8229 i000
1000
8rnin 229 ou 8min,23.
Soient : d
pour les pressions supérie-ur:e Formules relatives è P e'preuve. des chaudières, tubes bouilleurs, cylindres et enveloppes de cylindres.
Soient : P le poids pour la charge directe d'une soupape,
et p le poids pour la charge avec le levier, l'un et l'autre exprimés en kilogrammes et parties décimales du kilogramme-, d le diamètre de la soupape, exprimé en centimètreS'elearties décimales du centimètre.; n le numéro du timbre; B le ,grg,n,d, bras du levier, et b le petit bras.
4, 2; 75
4; B =.2 23, et b
4, 2 X 412 X 811 ( 4
p
1000
811(7Z
d9x
DAvia.e.P-1,
1000
)m
X
5
17,64 X 811 X 3 X 5 ... -7:Ffelgkeelt59° l000 , .uoieril- ti.pd,
-
Et, pour la charge au annyen, du lévuepeudinil
,
p _,-_, 214.'"°g-,a 9
(-73- ) = i'8 iiiifee .
f
..,
Si,, toutes choses égales d'ailleurs, leclidudière etatit eie-
tôle, il faudrait faire m :--- 3, et arci trouliéràle,' P 128"°,75436
p= .1
Paris, le 12 juillet 1828.
,Try
Le Conseiller d'état, Directeur egémiflascrop4s g4,j, chaussées et des mines, i4ne1,9' el
Signe 15,Efee,
61,
Approuvé le 12 juillet 1828,
, et
(-0.
2.
1000
Cela posé, -éiPUldtira,
c12 X811 (nt)nz
5.
On aura , pour la charge directe
P
En commençant la table par le timbre indiquant deux atmosphères, on l'a rendue eplicable, autant qu'il est nécessaire, à la basse pression. On a jugé inutile de consprendre le timbre qui se rapporte à une atmosphère et demie, attendu que, pour cette basse pression , les fabricans sont dans Pusage de donner aux chaudières des épaisseurs qui sont toujours proportionnellement plus grandes que
P
JO
d'épreuve doit être
(i)
(1) Dans ce qui précède, le lévier est considéré comme étant sans " pesanteur ; ou, ce qui revient au même, il est supposé mis en équilibre sur son point d'appui au moyen d'une espèce de contre-poids. Quoique les leviers dont ou se sert ordinairement ne soient pas ainsi
disposés , on opère, le plus souvent , comme s'ils n'étaient point
pesans.
Néanmoins, si, dans certaines circonstances, il était jugé utile de
..---- r--- g Le Ministre Secrétaire d'état au département de l'intérieur,, X x8 X i
Signé DE MARTIGNAC. nip s tenir compte de la pression que le lévier seul exerce si
7,s1 (
soupape, on pourrait alors retrancher de la charge p la moitiedu poids du lévier. Nommant s ce poids et p' la charge corrigéeion aurait, sinon toujours rigoureusement, du moins .avec une exwei-o tuile suffisante pour la pratique, p' s.
i!