Révisions de la page | Historique de transcription | Lettre personnelle de Brochant doublant la lettre officielle du 16 juillet 1825

que le premier a fait son difficile... qu'on n'auroit pas d'argent au delà... mais que Mr le Dr gl a été plus raisonnable et a dit que si les dépenses alloient a quelques centaines de franc de plus qu'il les feroit payer ; que même il disoit que vous devrez être remboursé de votre baromètre et sextant. Ils auront sans doute réfléchi à tout cela, ils auront pensé à notre économie en Agleterre [un mot barré : inférieure] ou nos dépenses ont été inférieures à celles des ingrs des Pts et Chées qui y ont été envoyées ; puis ils auront pensé que ce genre de voyage étoit nouv[eau] que dès lors on ne pouvoit bien évaluer les frais exactement, et ils auront préféré vous payer sur mémoire. Il faut donc marcher comme cela cette année et nous verrons cet hiver pour la suite ; mais je vous engage à tacher de combiner vos dépenses (s'il est possible) de manière à ne pas vous écarter de mon tarif proposé. Je l'ai écrit également à Dufrenoy. J'ai reçu les 4 exemplaires de la carte de France dite des ponts et chaussées. J'en ai fait coller une sur toile ; mais malgré ma promesse, je ne vous l'envoye pas, de crainte qu'elle ne vous embarasse beaucoup, car cette est très grande ; un peu plus que celle de [Granough]