Annales des Mines (1828, série 2, volume 4)
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DU SYSTÈME DES VOSGES.
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TERRAINS SECONDAIRES
périeures. Le plateau qui s'étend entre la vallée de,piiederbronn et celle de kegerthal est formé par le muschelkalk, et sa surface appartieni,aux assises supérieures de-gett.4Joymation auss.'est-elle,junchée du calcaire,Aelluleux, aussi bien élue de fragmens de ce calcaire 'compacte à
sugmeA mamelonnées, dont nous m'ions parlé plpshheit. On y trouve de même un quarz blanc eethilet3x , en partie coloré en jaune par du fer
bykjatet dont le mode de for,mation est probaj*r. qffltia.nalogue à celui du calCiaiiek` loisonné.
epfin,{ pirt,y,,trotiveUn quarz Compacte, d'un
brun noirâtre, rubané, très-fragile, qui paraît l'Aclim'yale,nt,ides silex que j'ai inçliqué,datas
per4ie Anperieure du inuséhelka14.icieRehain
yi1lseèïle Fraquelsing. .,qmpt encore étudier la coiniesamAu mus-
dilknpsieurs autresipgiesdlueffleitour
dniete,,., ami gortt,. je viens de 141'1 eXoAtefi-prè s
a.miseileg *Aelnin qui r.nèPeid9reet13,41, à
T.,1,,41-fglyppirkon trouve lacarr.ttfemiikfkienMla.
cehaut-fourneau. Elleipgspeps un esceile19 eyn
tes', aeighti c,-4e4iRe. gris
qpmpasti_ctui renferme beia-ducsem,ç4teroques, eL.4.ppetient aux couches m'est-IA.14%c*, la foriethabtj. Les couches plongent anàbie,_ sous un , mi,geassez considérable. a.`\1" .b Si, descendant de ce même plammtelans la diMarnes tri. ses prés de rection du S.-E., qui est cellejA,:ginclinaison Reich"fen des couches on traverse Reidonferi pour examiner les coteaux qui forment le flanc'gauche de la vallée à l'E. et au N. de cette petite ville, on ne
retrouve plus les formations du 'grès bigarré et du. muschelkalk. Au N. de Beichsofen , on trouve
un mamelon, isolé de plusieurs côtés, sur la
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pente duquel un ravin met à découvert des couches alternatives, à- peu près horizontales:,:ale marnes rouges et d'un gris bleuâtre, qui se déli-
tent à l'air en fragmens anguleux, qui ne présentent aucune indication de disposition schisteuse, et qui ressemblent entièrement à celles qui, à Vie, forment la partie moyenne de la fni-mation des marnes irisées. Sur le somfnet du 04'4
ticule, on trouve beaucoup de fragmens grès gris ou jaunâtre, à grain fin et à qui paraît l'équivalent de celni'quee ieâsureterreuse, dans les environs de Bourbonne-les-Bains et erir plusieurs autres points, j'ai indiqué vers le milieu de l'épaisseur des marnes irisées. Si on revient, à l'E. de Reichsofen, examiner le coteau qui se trouve près de la maison de la douane, on y retrouve les marnes irisées, dans
lesquelles on découvre de la chaux sulfatée, en partie en cristaux et en partie en grains
amorphes. On y voit des couches d'un calcaire compacte, grââtre , un peu esquilleux , arkiTeux e t mràgnésifèreinalogue à celui dont j'ai souvent signalé un&efIche vers le milieu de Pépaisseur
des marneifgées de la Lorraine. chily aussi tifilkléleé, gris, grossier,
surface tileftideieé-et9hérissée de parties tallines , aiaIgi4khelui qui porte à Vie le rioni' de crapaud. Vers le haut de la colline, atide'S des medâ4d-eièrei,,on trouve un grès nonèiÉêri'i,é4àer blanchâtre , à gra'in Lue .5b brillant, 'prtiaéritant quelquefois des A'êiifbi9
des zone êberees.,par de l'hydrate de 'feetW -4, grès rapPeepar ses caractères, comnfille.4 position , quei ii indiqué ,'e-lergelYS points de 1;t Lorraine , comme fok*ae,(PlWer