Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1828, série 2, volume 4)

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TERRAINS SECONDAIRES

DU SYSTbIE DES \rose:Es.

milieu des maienesirisées dans les collines des environi§de Bourbon ne et à'rentrée dçi puits de Vic. AtDkessousidu calcaire n°it , setrottvent suc-

comme se trouvant constammentau- dessous de la couche de calcaire magnésifère, vers le milieu

cessiyemtènt'l-,

N°. 2, tInre- argile schisteuse., fegdillée dans toutes, les directions , le plus,souvent d'un gris verdâtreynitii diffère très-peu des eouches caractéristiqueedes marnes irisées. Ne.'34,furie marne sableuse passant, à l'argile schiSteustniOn y a4rouyé des.nids 'cle;eombustib14)fossileicet des impressions,cde plaintes ; en quélqueSipOints, elle contient urn. grapenombre de ,Paillettes de mica. flupffi. N". 4, une couche puissante de marneebleuse avec des veines d'argile noirâtre. N°. 5, des _couches de marnes, savoir ,

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a, nielle sableuse d'un jaune sorribee) avec des aPir'ïuds etib(les nids d'int-.grès:::,fermgineux giese et- demi ;

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e, Marne 'pareille ài la précédentev.-_,akmidesyeie, nulles noirâtres. g5èàÏli -dooCI: tir

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ghes situees phiSibaS: 11 me semble qu;on. lielege.rné-

ediinaître;'darrecelles n94 ..2t,k1.5,01.li geltèrge qui

referme la couche de combustibief4o6ai4q de Noroy,, celles de GemonvaL;. de Gçieuifilel4É.; et que j'ai indiqué, en plusieurs;rinkteisqeidtbits 5

de l'épaisseur des marnes irisées. Il me paraît donc que le système du grès bigarré, du muschelkalk et des marnes irisées des environs de Basie, présente, avec le même système de couches observé sur les pentes des .Vosges, une identité qui se soutient jusque dans les moindres détails. Les travaux publiés récemment par plusieurs géologues allemands montrent que cette identité se soutient sur tout le pourtour de la Forêt-Noire. ( Voyez l'ouvrage et la belle carte de MM. d'Oeynhausen, de Dechen et de la Roche, et celui de M. Alberti.)

(Lisière N.-0. du Jura.) § 45. Au milieu des bouleversemens de couches qui, depuis Vallenburg, dans le ,canton de Basie, jusqu'à Villehois, sur le Rhône, au-dessus de Lyon, marquent, du côté du N.-0. et de PO., la limite extérieure du Jura, on voit paraître, en un grand nombre de points, une épaisseur plus ou moins considérable de la formation des mar-

nes irisées, avec des caractères tout-à-fait pareils

à ceux que les mêmes couches offrent sur les pentes des Vosges. Ainsi, on voit paraître les marnes irisées 1 fa dn ee s tai 1°. A Vaufrey, sur les bords du Doubs , entre secs fy Sainte-Ursane et Saint-Hippolyte : j'y ai vu plusieurs couches de marnes irisées sortir de dessous (Doubs). le calcaire à gryphées arquées, et, parmi ces couches, j'ai remarqué particulièrement celle de calcaire compacte, esquilleux, magnésifère, que j'ai déjà signalée tant de fois vers le milieu de l'épaisseur des marnes irisées.