Annales des Mines (1828, série 2, volume 4)
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11L SYSTÈME DES VOSGES.
TERRAINS SE(101N"D4IRES
64
15. Marne bleuâtre.
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Marne rougeâtre. ........ .. .. .
Marne et gypse. Marnes de diverses couleurs.... . -17. Argile noirâtre très-sèche Calcaire marneux. Marne bleuâtre. . 2o. Chaux sulfatée anhydre très-dure.
Marne noire et gypse.. ....... .
oni,97 1 o3 o Si 84 2
17
i
3o 54
i
0 43 i
Chaux sulfatée anhydre très-dure. o 1 Gypse salé et marne. t Calcaire marneux o Gypse blanc
Marne dure Chaux sulfatée anhydre.. Marne bleue dure. . . 29. Marne bleue et gypse salé. . .. 3o. Chaux sulfatée anhydre très-dure
.31. Marne grise et verte mêlée de gypse. .. ... . ........ -
32. Marne grise et verte. . 53. Marne noire et gypse salé... 34. Calcaire marneux. 35. Marne grise et gypse un peu salé 56. Calcaire marneux . 37.. Marne grise et gypse 38. Marne noire et gypse blanc... 39. Marne grise et gypse salé. 40. Argile rouge et gypse blanc. 41. Argile rouge non salée
3o 65 So 3o
6o
o 97 o 81 1 4=
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o 1
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46 So 14
o 57 o 58 0 75 0 52 i 22 3 57 2 27 3
42. ld, avec gypse blanc.... ....
90
1
19
0
49
107',31 D'après les remarques que M. Auguste 'Duhamel a eu la complaisance de me communiquer, TOTAL.
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le calcaire b, traversé par le puits, est identique avec le calcaire cloisonné des environs de Lonsle Saulnier. ( V. plus loin, 46.) Le calcaire no. 9 du sondage a beaucoup de rapports avec celui-ci, seulement il n'est pas divisé comme lui par une foule de petits filons de chaux carbonatée cristalline qui se croisent mutuellement : il est très-ter nace. Les calcaires n'S. iB , 24 34 et 36 ont pau à M. Auguste Duhamel analogues à ce dernier. A Salins, où ces calcaires ont reçu des ouvriers le nom de griffe, ils sont comme ici placés entre les différentes masses de gypse exploitées siur le revers septentrional de la montagne qui porte le fort St.-André. Ces différens calcaires sont trèsprobablement magnésifères; j'en ai même la certitude pour le calcaire b du puits que faiiessayé. On voit qu'ici il existe deux couches principales de calcaire magnésifère , au lieu d'une seule que j'ai observée-dans beaucoup d'autres localités ; mais il est vrai de dire que, dans quelques localités où j'ai observé une seule couche de ce calcaire il
n'était .pas évident qu'il n'y en eût qu'infe seule. En revanche, la couche de grès et la couche de combustibleique ja.i trouvées ordinairement en dessous du calcaire magnésifère, n'ont pas été observées ici. On peut du reste remarquer que la dégradation qui s'observe dans la couleur et les au-
tres caractères des marnes irisées est ici à peu près la même que dans les travaux souterrains de 50. A Bussy, sur la route de Besançon à Quin- Marnes
- les marnes irisées s'y montrent sur
sées de Bus-
peti t e épaisseur, au-dessus du calcaire à gryphées 'Y, (Dotib
arquées, qui y présente des veinules de galène et de blende.
T. IF, 4e. avr. 1828.