Annales des Mines (1832, série 3, volume 3)
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EFFETS DES MOTEURS. MÉCANIQUE.
du rayon, et ont om,5p de largeur sur im,6o de longueur parallèle à l'axe. L'arbre de la roue hydraulique pénètre dans l'atelier de la forerie., et porte une roue conique; à double denture, en fonte, qui de part et d'au4 tre fait tourner deux autres roues coniques à dents
en fonte. Sur l'axe de chacune de ces roues est
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ruent à celle d'un poids constant à ajouter à la charge du frein. Quant à la vitesse de l'eau affluente, elle a été
calculée en ajoutant à la charge sur le centre de l'orifice la pente de o", 128 du plan incliné, et en regardant cette somme comme la hauteur à laquelle était due la vitesse cherchée. En tenant compte des résistances passives qui
montée une roue plane à dents en fonte qui trans-
résultent de la disposition de la machine,
met le mouvement à deux autres roues planes à dents en bois. Celles-ci entraînent les pièces. dans leur mouvement au moyen de manchons. Le frein a été placé sur l'arbre même de la
P AF" H- B. P est l'effort horizontal transmis par le moteur à
roue tourné à cet effet.
La largeur de l'orifice est de e,55; il est disposé de manière qu'il n'y a pas de contraction sur le fond ni sur les côtés, et, comme la vanne est inclinée à 34, on a. pris o,75 pour 'coefficient'; de contraction. Le niveau de l'eau était tenu constant. La chute totale était la hauteur de ce niveau au-dessus du point inférieur de la roue. Le rayon moyen de la partie choquée changeait avec les levées de vanne. On l'a obtenu pour chaque série d'expériences en diminuant le rayon- extérieur de la roue de la. demi-levée de vanne. C'est 'ainsi qu'on a calculé les vitesses du centre d'impulsion des aubes. Il était nécessaire de tenir compte de la quantité de travail consommé par les roues de la com-
munication des mouvemens qu'on n'a pas pu désengrener. Mais, comme cette quantité est proportionnelle à la vitesse, et ne dépend que du poids de ces pièces et du rapport du frottement à la pression pour les substances en contact, on voit que cette recherche revient simple-
arrive à
la circonférence du centre d'impulsion des aubes ;
F la .charge totale du frein ;
A et B deux coefliciens dans lesquels entre le rayon variable du centre d'impulsion des aubes. Les valeurs de ce rayon dépendent, comme
nous l'avons vu , de la quantité plus ou moins grande dont on lève la vanne. En substituant pour chaque série d'expériences les valeurs particulières de ce rayon, on a Ir'. série P= I,007Fk 12k,23;
ne. série, P= 1,012 Fk --F- 1e8; 30. série, P =1,016 17' -4- 12k,33; tie . série, P = 1,019 Fk -± 12k,37 ; 5°. série, P i,o90 Fk +12k,38; 6e. série, P i,o24Fk i2k,43 série, p, i3O24 + i',43; P 1,029 Fi' 121'49. série, En multipliant les valeurs de P par la vitesse du centre d'impulsion des aubes, on aura pour chaque expérience la quantité de travail transmis à la roue par le moteur, Les expériences ont conduit auxTésultats suivons.