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SUE L'AFFINAGE DE LA FONTE

scories pendant la durée d'une opération; elles facilitent le travail des hommes et accélèrent la transformation de la fonte en fine-métal , mais C'est t )uiouN en augmentant le dechet. Au lieu de scories provenant d'anciennes opérations de tineries, on commet souvent la faute grave d'employer des scories de puddlage, lesquelles sont plus chargées en silice que les scories de fineries même; c'est une nouvelle de déchet. Il n'en est pas de mérne des source scories provenant du dnglage et des cylindres finisseurs,

composées en grande partie d'oxide de fer des battitures. Elles sont généralement plus pures que toutes les. autres; elles sont favorables à la production et doivent être employées de préférence, lorsque la nature des fontes le permet; il ne faut pas oublier que ces scories de La tti tures avancent beaucoup l'affinage et doivent pas, par conséquent, être employées ne la conversion des fontes de la 2°. et de la dans 3e_ classe en fine-métal. De la conduite

Aussitôt que la coulée est terminée complèteles deux aides coupent le vent. Le premier apporte un peu de sable argileux ( quelquefois un peu de poussier de coke auparavant) qu'il projette sur le trou de coulée. Le maître fineur tasse ce sable dans le trou, de manière à empêcher la fonte de s'écouler spontanément pendant le trip,util. Aussitôt les deux aides versent dans le foyer tout le coke enflammé qui est resté sur le devant et le derrière du fourneau ; le maître fi-. neur garnit alors la plaque de coulée avec du frasil de coke. Ce poussier est destiné à empêcher la fusion de cet avant-foyer qui n'est refroidi que par la couche d'air qui se trouve.

de ropécation.ment,

PAR LA MÉTHODE ANGLAISE..

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à son contact. Pendant ce temps le deuxième aide a rempli le foyer de coke, jusqu'à. 0m.20

au-dessus des tuyères, et dès qu'il a fini , le premier aide met au-dessus du coke la quantité de scories que le maître fileur lui a désignée. C'est alors que le maître et son premier aide procèdent au chargement de la fonte. Cette partie de l'opération demande vingt-cinq minutes. Le chargement terminé, les aides donnent le vent; mais auparavant le deuxième aide a soin de rem-

plir complétement de coke l'espace intermédiaire compris entre les deux moitiés de fonte qui composent le chargement. Le vent étant remis, on abandonne l'opération à elle-même jusqu'à ce que la presque totalité de la fonte soit tombée en fusio-n dans le foyer ; cette partie de l'opération dure une demi- heure environ : on n'a d'autre soin que

de verser au besoin, par devant ou par derrière le foyer, quelques paniers de coke destiné à

remplacer celui qui s'est trouvé consommé. Dans ce laps de temps, le premier aide enlève>

avec un râble, les scories qui recouvrent le gâteau de métal de l'opération précédente , lequel est encore rouge; ensuite, il dirige sur ce gâteau une grande quantité d'eau froide , destinée principalement à rendre ce métal facile à casser; cette eau joue en même temps un autre rôle important, elle enlève une grande quantité de soufre

,

qu'il est aisé de reconnaître à l'odeur

d'hydrogène sulfuré que dégage la vapeur d'eau formée. Il est préférable, comme cela se pratique dans plusieurs usines, de plonger irrunédia teillent

la coulée entière, encore rouge sombre, dans une bâche en fonte remplie d'eau; le but que Von sQ,.