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NOUVELLES EXPÉRIENCES

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Sua LE FROTTEMENT.

tion a été .employée dans les premiers essais; mais elle a, clans certains cas, des inconvéniens ; on lui

le plan vertical de l'axe du traîneau parallèle au mouvement, le centre de gravité de ce traîneau pouvait se trouver hors de ce plan ; de plus, la manière dont la charge variable était reportée, une légère erreur dans la pose des bandes frot-

a substitué la suivante : sous le traîneau, dans

tantes pouvaient occasioner des déviations sensibles

on a fixé une traverse g portant deux coussinets

convénient qui altérait l'étendue des surfaces frottantes, on a adopté la disposition suivante : à l'ar-

-pût recevoir deux autres petites caisses M qui y sont simplement posées, et qui, dans la descente, sont arrêtées par cieux traverses N. Cette disposi-

l'axe du banc et vers l'arrière, on a placé un taquet a garni d'un talon en fer b (P4 fig. i). Entre les gîtes A, et près de leurs extrémités, 'en fer h', sur lesquels repose l'axe d'un levier coudé à angle droit ceci. La branche ce verticale

Ist terminée par un arc de développante d'un Cercle de o-, o de rayon et presse contre le talon b;

la branche horizontale porte un arc de cercle dont le centre est en 'e, et sur lequel s'enveloppe un bout de sangle qui porte une petite caisselque l'on charge de poids. Au moyen de cette disposition, et du rapport connu entre le rayon de l'arc employé et celui du cercle développé , on pouvait, avec des charges assez faibles dans la caisse f , exercer un grand effort sur le traîneau pour le détacher ,et, pendant la durée de l'action du levier sur le traîneau , cette action restait constante. Le levier ceci était arrêté dans sa descente par une traverse i, et en mesurant, avant le départ, sa hauteur au-dessus de cette traverse, on Ouvait calculer la portion de la course du traîneau, pendant laquelle le levier avait agi concurremment avec la caisse descendante. Plus tard l'expérience ayant démontré que ,pour déterminer le départ du traîneau , il suffisait d'un simple ébranlement, on a cessé dans une partie des expériences, de faire usage du levier. Quoique l'axe de la corde fût bien dirigé dans

dans la position de ce point, et par suite dans le mouvement du traîneau. Pour remédier à cet in-

rière du traîneau on a fixé une longue latte en sapin, pesant ok,596 le mètre, qui avait orn,o

d'épaisseur sur orn,o6 de largeur. A l'extrémité des

gîtes, s'élèvent deux montans réunis par un chapeau sous lequel sont deux rouleaux cylindriques ;

l'un horizontal, destiné à soutenir les lattes ; les deux autres verticaux, ayant pour objet de la maintenir latéralement. A 1n',5o et à 3 mètres en arrière se trouvent deux systèmes analogues de rouleaux : le milieu des rouleaux horizontaux est placé trèsexactement dans l'axe des gîtes et du banc. Cette

latte devait contribuer à empêcher toute déviation sensible dans la marche du traîneau: Afin d'éviter que la pression latérale qu'elle pouvait exercer n'occasionât un frottement capable d'agir sensiblement en sens contraire au mouvement, on a eu soin de donner à ces rouleaux un diamètre de d",05 , et un petit axe en fer de om,003. Un très-faible effort exercé, à la main,

sur la latte suffisait pour empêcher la déviation. Par conséquent la pression sur les rouleaux n'é-

tait pas assez considérable pour produire une résistance capable d'influer sur les résultats. L'emploi de cette queue a offert en outre l'avantage de rendre la charge du traîneau à peu 1s