Annales des Mines (1834, série 3, volume 5)
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ANALYSES 542 d'hornblende , est en masses lamellaires non cris-
tallisées. Sa pesanteur spécifique est de 2,553; j'y ai trouvé 0.6552 o 1915
Silice
Alumine. Chaux
0.1474
Il se rapporte donc à la formule ordinaire AL S:3 qui donne : o 6521 I Silice Alumine . Potasse
.
.
.
0 1813 0.1666
. .
3o
.
0.0028 0.0107 0.0023 0.0592
.
o.io56
276
Oxide de fer.
Chaux. .
. .
Magnésie . Potasse. .
Soude..
.
0.5031 oxig. 2614 1375 0.2944
.
9 9
Cette pierre a été rapportée d'Amérique par M. Mollien. Elle est en morceaux amorphes, homogène, transparente, mais opaline et d'un gris de fumée très peu foncé ; elle devient tout-à-fait
incolore par la calcination, et elle perd o,o3o de son poids. Une analyse qu'on en a faite par
1.0000
Le feldspath du Vésuve, accompagné d'augite ( rhyacolithe ), est en masses compactes, d'un blanc de neige, accompagné de néphéline et de mica noir. Sa pesanteur spécifique est de 2.618. On a trouvé l'angle du prisme d'un petit cristal de 119°21'. Analysé par le carbonate de baryte, il m'a donné Silice. . . Alumine .
543
Après le Vésuve, c'est l'Eiffel qui renferme le plus de rhyacolithe. 20. Analyse de l'OBSIDIENNE del Pasco (en Colombie); par M. P. Berthier. (Mém. , p. 316.)
" 99'"
o.00i5
Potasse, soude et perte
DE SUBSTANCES MINÉRALES.
2614
6
1384
3
1
}
409
0.9781
Sa formule est donc (S,i().S.+ÂL S. Il résulte de ces analyses que certains feldspaths
vitreux sont différens des feldspaths ordinaires, et qu'on peut les désigner sous le nom de rhyacolithes que j'avais proposé d'étendre à tous les feldspaths vitreux croyant qu'ils différaient tous du feldspath ordinaire.
l'acide fluorique, et dans laquelle on n'a pu doser la silice que par différence, a donné Silice
Potasse. Soude. Chaux Magnésie. Alumine. Oxide de fer.
.
.
Matière volatile.
0,6946 oxigène 0,3611 0,0712 0,0121 o,o5o8 0,0128 0,0754 0,0224 0,0100 0,0260 0,0 120 0,0260 0,0260 o,008o o,o3oo
0,0763
1,0000
On voit que cette pierre n'a aucun rapport avec le feldspath.
21., Analyse du pErnosiux de Pile d'Aran ( Ecosse) ; par M. P. Berthier. (Mém., p. 317.) Cette pierre est compacte, à cassure vitreuse, un peu transparente et d'un vert foncé noirâtre. Elle devient d'un rouge d'ocre par la calcination. Analysée par l'acide fluorique , elle a donné :