Annales des Mines (1835, série 3, volume 7)
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357 celle qui consiste à essayer de combien de degrés EXTRAITS.
eirtmu. chaque atome, quoique n'étant probablement pag. rigoureusement exacte, parce qu'elle est modifiée cohésion,la pa n'état particulier de très-précieuse pour mener à n'en est pas moins écarter l'arbitraire du choix entre les différens multiples d'un même nombre que les considérations chimiques laissent souvent clans la détermination du poids des _atomes des corps simples. Cette loi s'accorde avec la loi de la chaleur spécifique des gaz composés que j'avais cherché à dé-
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duire antérieurement, et qui revient à ce que la chaleur spécifique des gaz composés, toujours ic volume égal, est exprimée par la racine carrée du nombre entier ou fractionnaire du volume des gaz simples qui entrent dans la formation
d'un volume de gaz composé. Ayant déterminé un grand nombre de -chaleurs spécifiques et ayant comparé entre eux tous les résultats obtenus, je crois avoir établi d'une manière assez probable que la même loi est applicable conséaux corps solides et liquides, et que par d'Un
quent : la chaleur spécifique d'un atome du corps composé est égale à la racine carrée nombre entier Ou fractionnaire exprimant la
somme des atomes:ou. fractions d'atomes quicon-
courent à la ',formation de cet atome du corps composé, à l'état solide ou liquide, en prenant appartenant à pour unité la chaleur spécifique quelconque clans ce l'atome d'un corps simple discussion m'a conduit à réméme état. Mais la atomiques des corps duire en général; les poids simples à la moitié des valeurs que M. Berzelius leur attribue actuellement. Dans mes expériences sur les chaleurs spécifiques je me suis servi de la méthode la plus simple,
le corps. que l'on considère, sous une masse àonnée , échauffe une masse constante d'un corps déterminé, tel que de l'eau, dont on prend la chaleur
spécifique pour unité, tandis qu'il se refroidit lui-même d'un certain nombre de degrés. Mais j'ai cherché à perfectionner ce procédé et j'ai tâché de faire les corrections indispensables relativement à la, dissipation de la chaleur 'dans etc., d'une
manière plus rigoureuse qu'onl'air.' ne l'a fait jusqu'ici. Voici les résultats auxquels je suis parvenu :
CIIALE U
NOMS DES SUBSTANCES:
FORMOLES.
spécifiques. Mffleize.
Carbone Protoxide de plomb Oxide rouge de mercure. Protoxide d'étain. Deutoxide de cuivre_
Oxide de zinc Chaux anhydre. Oxide de fer anhydre Oxide rouge de plomb. Oxide blanc d'arsenic Alumine anhydre. . . Deutoxidc d'étain Peroxide de manganèse
C Pb,
lig.
Si
0,257 o,o5o .o,o5o 0,094
Cu'. Zn Ca
046
lC
0,2.13
l'ib
0,072
As
0,14.1
.,.-7.
.,I4i 0,179
Al
0,200
St
0,111
iïn
f-,--
Silice ( quar tz.
Si
0,19r 0,179
Sulfure, de fer ordinaire.
1,Ye
o,i35
rb
0,4G
Galène.