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Annales des Mines (1835, série 3, volume 7)

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EXTRAITS.

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s'il y a contact d'air, ou si on lave avec de l'eau non bouillie, il se sépare du cuivre métallique. Le phosphure de cuivre est inattaquable par les

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le dissout avec dégagement d'hydrogène phosphoré non inflammable, et l'acide sulfurique

précipitent du sulfure) d'antimoine:, ::en inegim temps qu'il se dégage de l'hydrogène sulfuré. Le oxisulfures d'antimoine, le vrai kermès officinal par exemple, traités par la potasse caustique, ne se dissolvent au contraire que partiellement , ée laissent pour: résidu .une substance pUiVérulente.

avec dégagement d'acide sulfureux.

jaune, qui, se compose de potasse, d'oetide,

acid es affaiblis, mais l'acide muriatique concentré

Sur FANTIMONITE DE POTASSE; par M. Brandes.

(Compte rendu de M. Bfflélius, 1833.) En lavant avec de l'eau l'antimonite de potasse basique, il se dissout de la potasse pure, et il reste un sel qui ne contient que o,o635 de potasse, et qui exige ioo p. d'eau pour se dissoudre.

par M. Liebig. (Ami. der Pharm., t. 7 , p. I.) Le kermès minéral ne se forme et ne se déSur le KERMÈS MINÉRAL ;

pose des dissolutions, qu'autant que celles-ci contiennent de l'oxide d'antimoine, ou que cet

oxide peut se former aux dépens d'un oxide alcalin.

Tous les prétendus kermès exempts d'oxide sont identiques les uns avec les autres , ainsi qu'avec le précipité hydraté que l'on obtient en décomposant la solution des sels d'antimoine par l'hydrogène sulfuré. Les autres kermès contiennent soit un sultoujours, soit de roxide

d'antimoine' fure alcalin qui le remplace. Ces derniers ont pour caractère de se dissoudre complétement , étant encore humides, dans la potasse caustique,

et de donner lieu à des dissolutions dont les acides

moine et de sulfure du même métal. Voici quel est le meilleur moyen de pnéparer le kermès officinal.

On fait fondre à la chaleur rouge uà mélange-) de quatre parties-de sulfure dantunoine,,,et dei une partie de 'carbonate de soude,ànhydrqi coule la masse fondue sur unelariqueon la réln duit en poudre très fine, et 'on enifait p. avec 2 p. de carbonate de soudé et 16 p. d'eau. An bout d'une heure; bit filtre; lei liqueur bouillante, et par Ie 'refroidissement le s'y forme un dépôt de kerinèa'très' beau eutie pesant. On reprendreau-mèré- qu'on rait bouillir lege, de nouveau avec le résidu : refroidir, et on répète ]a même opération 'jus'infit.i ce qu'il ne reste plus qu'un dépôt de crocus jaune ou brunâtre. L'eau chaude décompose en partie le kermès, en

lui enlevant une certaine proporfiOn; d'oxide , et MM. Geiger et Hello ont) mêMe- 'remarqué qu'en le soumettant k une, ébullition:soutenue , çontan, de avec beaucoup, d'eau, à l.'abi* il se décompose complétement Ayee dégagement

dlielngène, §yJf,e, gn,semeangeant en, i oxide quiesteen,`dissolution..149153nès,arynsé,:dette4Jkr: contact de Éair,disparair coup d'eau,et exposé

complétement au bout de quehne temps, et 30 Tomepin VII, /835. ,