Annales des Mines (1835, série 3, volume 7)
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47> potasse est -)évaporé:e .à)sec , .le résidu .de nouveau
calciné, et en reprenant par l'eau, roxid.e de cuivre reste insoluble. O in:Ode d'analyse peut servir à séparer le mereltiecrerres fcure:des autres, ,oxides solubles dans l'acide for. géta... Telssont les oxides de cobalt, de nickel, de cadmium et de zinc, quoique je n'aie pas eu d'occasion de leur appliquer ce procédé.
$9. Sur divers AMALGAMES, par C. Klauer de Mulhausen. (Ann. der Phar. t. X, p. S. )
Ayant en occasion de -répéter dernièrement l'opération par laquelle -Berzéliusobtient game crammonium , en 'mettant l'amalgame de potassium dans du sel ammoniac, il me vint dans l'idée d'opérer de même sur d'autres substances. Pans un gros cristal d'alun je pratiquai une cavité, oU. -je plaçai ,une petite boule d'amalgame de po-
tassium; l'action fut très-vive et détermina un
mouvement rotatoire de l'amalgame qui dura une demi-heure; au bout de ce temps, le mercure devint
dur et il s'était formé un nouvel amalgame qui contenait une assez grande quantité d'aluminium.
- Le même mode appliqué aux sulfates de magnéMagnésium
cuivre, fer. sie , de cuivre et de fer a donné les mêmes résultats. Toutefois il est préférable pour ces derniers d'employer Vanialgame de sodium. La production .de l'amalgame de fer était fort Ver. remarquable. Sel!ai préparé aussi en faisant une dissolution très concentrée de sulfate de fer, et y
agitant de l'amalgame de sodium récemment préparé. Au.bout de quelqUes instans, j'ai obtenu
'EXTRAITS.
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un amalgame qui S'est déposé au fond du Vase en masse brillante blanc d'argent , et la dissolution, devenue claire, contenant des flocons d'hydrate de fer. L'amalgame de fer est blanc, tenace, et se laisse réduire en fragmens; il est magnétique. A l'air il se décompose et sa surface se recouvre de rouille. Les autres métaux donnent. .de même desAutres métaux. amalgames; celui de magnésium, obtenu d'une dissolution de sulfate de magnésie, laisse le magnésium lorsqu'on le soumet à la distillation.
90. De la vaporisation du Plomb, de ses alliages et de ses combinaisons ;1 par M. FOURNET. [(An. de Cb., t. 35, p. 4o6.)
A la chaleur d'environ 5o. p., en une heure le plomb pur perd o,o4 de son poids. Le 'cuivre et l'étain ne modifient pas sa vaporisation ; le zinc ne la favorise que faiblement et se sépare tout entier de l'alliage; l'antimoine au contraire y reste entiè-
rement uni. L'arsenic se vaporise en totalité en entraînant du plomb. Le sulfure de plomb se volatilise en partie et laisse pour résidu un mélange des deux sous-sulfures PS et P2S. Un mélange de sulfure de plomb
et de sulfure d'antimoine laisse volatiliser du soufre et du sulfure de plomb et fournit -Un -résidu qui se compose soit d'un mélange de-sulfure et d'antimoniure de plomb, soit de sulfure double d'antimoine et de plomb mêlé d'antimoine métallique, soit enfin de sulfure d'antimoine mêlé fantimoniure. Avec les sulfures de plomb et d'ar-