Annales des Mines (1835, série 3, volume 7)
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SUR LES MINES DE CORNWALL ET DEVON. 491
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NOTE ADDITIVE
ou enfin 13,43 livres avoir du poids sur un pouce' carré anglais, au lieu des nombres plus petits insérés p. 642;
a.. Dans le cas ,où la vapeur est admise pendant de- la course du piston, 14.7 14,57 kilog. %sur un mètre carré, ou 1k,471 sur un centimètre carré, ou 21,35 livres avoir du poids sur un pouce carré anglais, au lieu des nombres plus petits insérés p. 643. 'Au moyen el:e la même substitution le travail moteur théorique de la vapeur, quand on la suppose admise pendant de la course du piston, est ,exprimé Savoir, le travail moteur correspondant au premier cinquième de course du piston par AL 5
X 25.1311=X.
Celui correspondant aux quatre derniers cinrquièmes par AL
x.38.800kX.
La-à-mime ou le travail moteur total correspondant à une chute du piston par AL 5
Au lieu -des .nombres plus petits insérés p. 644-
La température dans le condenseur nesaurait iêtre au-dessus de 409, car la tension de la vapeur â 46°.-et à son maximum .de densité, est de om,o5 de
d'atmosphère. Ainsi mercure, à peu près chaque kilogramme d'eau exige pour se transformer ,en-vapeur6o unités de chaleur, à quoi l'on devra ajouter la quantité de chaleur nécessaire
pour entretenir l'uniformité de- température pendant la détente, quantité estimée à 44,14 unités, p. 648, ce qui fait ensemble 654,14 unités de chaleur pour chaque kilogramme de vapeur. En admettant, comme dans le mémoire, (pie les '27 de la chaleur développée par la combustion
de la houille soient transmis à l'eau contenue dans la chaudière, il en résultera que 1%275 de vapeur, dont la formation et la détente jusqu'à un volume quintuple du volume primitif' exigeront 834 unités de chaleur, fournira un travail théorique de 63.931k.x1., et chaque kilogramme de houille un travail théorique égal à 63.931 X 7050><7 ><
'4343:906 ou 343,9 dynamodes. Le
travail utilisé 'étant moyennement de 166,1 dynamodes , le coefficient par lequel il faut multiplier
le travail théorique pour obtenir le travail utile
est 0,48, au lieu de o,53, nombre inséré à la page 65o.
Pour la machine de Borlase, dont le travail utile est peur chaque kilogramme de houille de 3o7,3 dynamodes , le coefficient de réduction serait beaucoup plus grand et égal à 0,89. On ne peut pas admettre un coefficient de réduction aussi élevé : ainsi il est vraisemblable que, dans les machines qui réalisent un travail utile de 3oo dynamodes, la vapeur est formée à une pression supérieure à celle de 2 atmosphères, que nous avons admise_ c.-dessus. Si nous supposons que la vapeur soit formée à une tension
de 3 atmosphères, et une température de 1350,1, et que la détente a lieu pendant les de la course du piston, nous trouverons, par la méthode sui-