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TERRAIN SILICEUX DE LA BRIE.

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qu'une partie du calcaire siliceux de la Brie est parallèle aux silex deSaint-Ouen. Dans ce cas, la pierre à plâtre, au lieu d'être une assise distincte et de former des couches continues, serait, pour

RAPPORT

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A M. le Conseiller d'état , direc ponts et chaussées et des rnin

ainsi dire, accidentelle; elle constituerait de vastes amas enclavés dans le calcaire siliceux qu'elle par-

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tut des expériences fa. ites civecrr

tagerait 'en deux parties. Cette supposition éta-

dans les hauts-fourneaux d' A

blirait une liaison entre des couches inférieures au grand dépôt gypseux de Paris et des couches qui

lui sont supérieures. En admettant que le grès marin supérieur forme une ligne de séparation

edetr.

Par M. THIBAUD, Ingénieur des mines.

tranchée entre les différentes assises dont se composent les terrains tertiaires de Paris, les assises

qui constituent le groupe inférieur pourraient

Depuis que le procédé de l'air chaud, pour la fabrication de la fonte de fer, a été importé en France, il n'a pas été appliqué aussi générale-

être regardées comme parallèles et se remplacer mutuellement, quelle que soit la nature des fossiles qui s'y rencontrent. La superposition directe

ment qu'on l'espérait d'abord. La répugnance d'un grand nombre de maîtres de forges peut être attribuée, d'une part, à ce que les appareils établis

que l'on observe >à Montereau du calcaire siliceux sur l'argile plastique et le passage que présentent ces deux formations sont d'accord avec cette idée.

ont donné des résultats très variables selon les

Dans cette dernière localité, non-seulement le calcaire siliceux remplacerait le plâtre, mais il représenterait en outre le calcaire grossier.

localités, et n'ont pas toujours réalisé , dès le début, toutes les espérances qu'on en avait conçues ;

et de l'autre, à ce qu'ils sont, en général, très dispendieux à établir, occupent beaucoup d'es-

pace, exigent de fréquentes réparations, surtout si l'on veut élever l'air à une haute température, et

par suite donnent souvent lieu à des chômages. Ces appareils diffèrent dans leurs dispositions et leurs formes; mais, dans tous, l'air atmosphérique est isolé du combustible employé à l'échauffer , et il arrive dans le haut-fourneau sans aucune altération. M. Cabrol, ancien élève de l'école polytechnique, ex-directeur des usines de Decazeville (Aveyron), au lieu d'introduire dans le haut-fourneau de l'air

Tome VIII. 1835.

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