Annales des Mines (1836, série 3, volume 10)
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EXPÉRIENCES RELATIVES
même chaleur, afin de souder vers son amorce, sur om, 1 de, longueur, la petite partie sur la grande ;
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4. A exposer de nouveau cette même mise avec
les deux premières à la chaleur soudante, en les superposant de telle sorte que les parties déjà soudées coïncident exactement, afin qu'ayant atteint cette chaleur on puisse les souder à bras d'hommes en cet endroit ; 50 A souder enfin l'empâtement (c'est en terme d'ouvrier ce que les artilleurs nomment le demicorps d'essieu ) et la fusée, en les soumettant à l'action du martinet.
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On juge que toutes ces mises sont bien soudées, Ci'
lorsque leur nombre ne peut plus être reconnu; mais avant d'arriver à ce point il est quelquefois nécessaire de leur donner plusieurs chaudes soudantes. On voit que par cette manière d'opérer la fusée, _qui est la partie de l'essieu qui doit offrir le plus de résistance , se trouve formée de . quatre
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b arres de fer. Achèvement de l'essieu.
La deuxième partie de la confection des essieux consiste Le tout à l'aide I. A étirer la fusée ; 5 du martinet. 2° A ébaucher l'empâtement;
36 A achever le forgeage de l'essieu à bras d'hommes, en se servant de gabarits pour le mettre aux dimensions exigées.
Dans cette 2e partie de la fabrication on ne soumet l'essieu qu'a la chaleur rouge-blanche : c'est pour cela que les chaudes n'en sont pas mentionnées dans le tableau suivant. L'essieu à ce dernier état est remis au tourneur
qui achève la fusée, puis le passe aux ajusteurs qui le finissent complétement.
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