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i/ÉNTILATEUR EMPLOYÉ

d'ailleurs être quelconque, comme lorsque par la force centrifuge l'eau fait reculer le couloir ou la courbe, dans la concavité de laquelle elle se

meut ( turbines de Pont-Giband , Gisors, et autres immergées), qu'elle agit par réaction sur la roue d'Ardes , ou que par impulsions successives contre les plans méridiens (fig. 5) elle fait mouvoir celle établie près Bourg-Lastic , la da-

naïde, la roue à poire, etc. Commençant par les turbines rapides destinées à prendre à la circonférence d'un rayon R des vitesses Rco de six mètres au - moins, ,sUUs des chutes élevées de trois mètres et au delà, il faut renoncer, ainsi que je l'ai éprouvé plusieurs fois

(Rapport de M. Héricart de Thtiry à la société d'encouragement en 1827), à faire agir l'eau sur des palettes ou couloirs courbes; en effet, lé frot. teillent du liquide sur les courbes, lequel, connue on sait croit dans le rapport du quarré de la vitesse, absorbe la majeure partie de là forée, Sùr-

tout si l'injection, comme à Pont-Gibaud , n'a pas lieu sur tout le pourtour à la fois, si, reçu en petite quantité sur une portion de la circonfé-

rence 2 R, le fluide est cependant obligé de mouiller et traverser successivement tous les cou-

loirs, d'adhérer à ces derniers, d'y déposer par suite des parcelles, lesquelles , emportées par la

roue, sont ensuite lancées dans l'espace par la force centrifuge, avec un dédia de force proportiOntiel au moins au quarré de la vitesse qu'elles prennent dans cette diSpersion Si faelieuse. Et puis Cette injection: partielle qui fie egbe pas tout autour de la roue détruit les conditions de l'entrée de l'eau sans choc et de sa s'Ortie SàIls vitesse, puisque le couloir oti canal courbe, qui

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COMME MACHINE SOUFFLANTE.

quitte cette injection, cessant d'être plein d'eau, le volume de cette dernière s'y écrasera en produisant des chocs divers, en outre des frottements ou adhérences déjà signalées, et pareille chose arrivera de nouveau au moment où le couloir reviendra ou entrera sous l'arc injecteur. En résumé, à moins d'une grande quantité d'eau injectée sur tout le pourtour d'une roue à évacuation alternative, comme celle de Pont-Gibaud (Annales des Mines, février 1833), il faut, dans le cas d'une chute élevée, employer soit la roue d'Ardes (Annales des Mines,' 828 3e liv.), soit la suivante (178-.5), qui au bout du compte devient celle d'Ardes, dès le moment qu'on bouche son orifice central K, et qu'on lui en pratique d'autres latéraux, ou même un seul n, à une distance sufquelconque R' de l'axe et d'une aire A= fieinte pour la dépense de la masse in d'eau affluente dans une seconde ( Ck) étant la vitesse angulaire , et par suite Rica étant comme on sait la vitesse relative du liquide écoulé, égale et contraire à celle qu'il possède avant de sortir). Ces deux roues, lorsque par une buse ou bec en tôle placé au bout du tuyau alimentaire" et convenablenient recourbé ou rétréci, elles reçoivent l'eau dans leur intérieur en faisceau horizon-

tal ou un peu incliné, très-cylindrique, et tangent autant que possible à leur contour très-

rond, afin d'éviter lés chocs et les jaillissements

ail dehors; 'ces deux roues diS-je , prodUisefit un effet supérieur à celui CleS atitreS connues

mais la prehate ( celle

à orifice

central), exerce toujOtits Je- niênie effort